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Hyménée
Participant

Je m’invite dans cette discussion. Merci de l’avoir ouverte 🙂

D’abord, c’est du robuste : je suis enchanté par la qualité de fabrication de l’Aneros. Je sens qu’il va durer longtemps. Et si c’est pas le cas, je lui pardonnerai et en achèterai un autre.

J’avais testé le Rocks Off Rude Boy, il y a quelques années, à l’époque où j’étais en pleine errance. Il me semble qu’il n’y avait pas d’autres vibrants à l’époque. Il m’avait fait entrevoir de nouveaux plaisirs ( 😉 ) mais … bon … finalement, je préférai l’Aneros Helix, ou des orgasmes sur chaise en regardant du porno, sans masturbation, mais en laissant monter les orgasmes tous seuls, rien qu’en laissant l’intensité libidinale des scènes jouer sur mon corps.

Un premier déclic est venu à la sortie de l’Aneros Progasm. Quand j’ai vu la forme de l’engin, j’ai tout de suite compris qu’il me conviendrait. Et c’est vrai. J’ai suivi les conseils de NXPL concernant la double lubrification (intériorité avec un gel à base d’eau, aneros avec un gel à base de silicone). C’est là, où j’ai vraiment commencé à décoller. Merci NXPL 🙂

L’Aneros Vice a tout changé. D’abord, j’ai mis du temps à l’acheter, car il est vraiment pas donné et effectivement généralement déconseillé.

Mais je me suis souvenu des jeux que je pratiquai quand j’étais ado avec un vibro … qui avait eu la malice de passer par là ( lol ).

Petit aparté : quand j’ai eu mon premier Super Orgasme avec le Vice, je me suis souvenu de cette période ado, où je cherchai un truc, mais je savais pas quoi. Y’avait un plaisir qui m’attirait, que je ne pouvais nier sinon je reniai une grande partie de moi-même, mais que je ne pouvais pas non plus assumer ni vivre pleinement. Le SuperO a résolu cette contradiction : en le vivant, ça m’a libéré. Je me souviens m’être exclamé : “je le savais ! je l’ai toujours su que c’était ça !” lol

Aujourd’hui, j’ai la certitude que le superO vient de loin, que nos entrailles le préparent depuis longtemps. Certains s’en souviennent, et sont “appelés”. D’autres non. Fin de l’aparté

Le souvenir de ces petits plaisirs vibrants solitaires, m’ont décidé a acheté le Vice … qui ressemble fortement au Progasm, mais avec … les vibrations.

Les vibrations sont extras. Je recharge l’unique pile AAA à chaque fois. C’est pas parce que c’est nécessaire, mais une fois, je me suis retrouvé sans jus en pleine séance. Très désagréable. lol. Maintenant, plus de questions à se poser. C’est le contexte idéal.

Trois puissances, et ça c’est génial.

Pour chacune des trois puissances, trois modes vibratoires :
– un continu (mon préféré en fait)
– le suivant sans vibration au départ, avec une grande montée en puissance puis descente. Tout ça en deux ou trois secondes.
– le dernier, des toutes petites saccades vibratoires, comme si vous aviez un mini marteau piqueur dans les fesses.

Même si vous serez très fort les sphincters, les vibrations conservent leur puissance. Et ça, c’est absolument génial. C’est du robuste, on peut avoir confiance.

Pour ceux qui connaissent Fucking Machines, c’est un peu l’esprit : vous avez entre les fesses une machine faite pour vous faire l’amour, increvable, imperturbable, et dont vous dirigez l’intensité au doigt et à l’oeil. Précision : contrairement à la majorité des gadgets Fucking Machines, il n’y a pas de va-et-vient, bien sûr.

Mais … véritablement, je crois (sans l’avoir testé), que la vibration continue du Vice en intensité maximale est équivalente de celle du Symbian : irrésistible de puissance.

Attention : comme le dit fort justement NXPL, si on commence par la puissance maximale, c’est contre-productif : les nerfs se désensibilisent. Trop agressif. On se retrouve à attendre quelque chose qui ne viendra pas.

Par contre, après être passé par les deux puissances inférieures, je dois bien dire … que je ne connais rien de meilleur. 🙂

Enfin si, car une fois le superO atteint à pleine vitesse, rien n’empêche de faire une pause (aller se soulager la vessie par exemple). Juste reprendre ses esprits. Se dire qu’on a vécu quelque chose d’incroyable.

Ce qui est génial, c’est qu’on peut recommencer un cycle en démarrant avec la puissance minimale. Et le superO émerge déjà, si on veut bien le laisser émerger. Et il est tout aussi bon. Voir meilleur, car sans doute plus subtil. Enfin bon, je sais pas. Pourquoi comparer ?

Et puis, on peut alterner les autres modes. Il y a quelques semaines, c’est ce que j’aimais bien faire : avoir un orgasme par mode.

Ce qui est génial, c’est qu’ils sont tous différents. Enfin même avec la vibration continue, j’ai des superO qui sont très diversifiés.

Mon préféré reste quand même celui imagé ainsi :

Prenez votre star du porno préférée. Visionnez la scène où elle se fait prendre par une virilité, dont elle ne peut faire autrement qu’écarter large et être écartée large. 😉

Ce long moment où sa jouissance la déborde à plusieurs reprises, sans qu’elle ne puisse rien y faire, sans qu’elle ne veuille rien y faire, sans qu’elle n’ait prise. Ce long moment, où sa beauté reflète l’authenticité de son expérience intérieure, cette vivacité qui l’étreint, qui l’embrase, qui la spasme, où l’on voit que son intimité n’est qu’offrande, c’est mon orgasme préféré avec le Vice.

Voilà 🙂