#10501
Hyménée
Participant

Bonsoir,

Je crois pour ma part que le découragement fait parti du chemin. Il ne faut pas en avoir peur et s’y préparer.

Vos propos me font penser aux miens, quand j’avais vingt ans : j’étais dans une bulle, car j’avais en moi quelque chose que je ne pouvais ignorer et qui m’encombrait dans mes relations sociales ainsi que dans l’idée que je me faisais de ma propre réussite.

A quarante ans, j’ai fini par trouver un arrangement intérieur et un aménagement extérieur. C’est quelque chose de très personnel, qui vaut la peine d’être cherché sincèrement, qui vaut la peine d’être vécu pleinement. Il n’y a pas de recette. Il n’y a pas d’aboutissement, pas de certitude. Il y a juste vous. C’est un chemin :

Je n’ai pu dissocier l’épanouissement de ma personnalité dans le monde violent que vous décrivez bien et que nous vivons au quotidien, de l’épanouissement de cette sexualité atemporelle, sublime.

Et pour l’avoir pratiqué, je ne puis que vous encourager à pratiquer ce chemin de transformation intérieure : la sexualité sacrée transforme l’Homme, et prépare son esprit et son corps à supporter le sublime.

Il faut juste savoir que ce chemin est plus escarpé que ce qu’on imaginait au premier pas posé 😀 C’est pour cela qu’on est déterminé au départ, découragé par la suite.

Je vous livre maintenant le secret des tenaces : ils n’ont jamais oublié de contempler la beauté du paysage, même en basse montagne, même en moyenne montagne, et même tout proche de l’arrivée.

Alors : profitez de vos orgasmes et persévérez dans vos études 🙂