Oui 🙂
Pour ma part, pendant des années, ma souffrance a été double : l’isolement dans ma quête, et l’incertitude de ma quête : je ne savais pas ce que je cherchais. Mais pourtant, quelque chose d’extrêmement fort m’appelait. Quelque chose qui ne pouvait être éludé. J’étais déterminé (dans tous les sens du terme) à y aller, contrairement à ceux qui m’entouraient et qui restaient “là”, tout en parlant de “là-bas”.
Aujourd’hui, je cherche encore ma Muse, l’Inspiratrice, et je ne sais si elle est à l’intérieur de moi ou à l’extérieur, si elle est chimère ou réelle. Ou les deux ? Conjonction
Je ne sais pas, mais je reste ouvert, chaque instant, depuis vingt ans, prêt à l’accueillir à jamais. Je t’attends.
Et curieusement, tout comme j’ai reconnu immédiatement le super O’ en le vivant (“je le savais !” ai-je jubilé, “Je t’ai enfin retrouvé !”), je reconnaitrai ma Muse dans l’instant. Foudroyé
“Tu es là !”
Je vous embrasse