#11293
Hyménée
Participant

Bonsoir,

Je me souviens de la première fois avec une ex : la douce était tellement excitée avant de m’enfourner, qu’elle en goutait littéralement. Des expériences comme celle-ci ouvrent les océans en deux.

Les femmes se suffisent du désir prégnant d’être pénétrées, pour être abondemment lubrifiées. Pourquoi ne pas entamer une séance anérotique de la sorte, et ne passer à l’acte que sous la volonté d’Eros lui-même ?

Lors de ma dernière séance, l’envie me tenait tellement le corps et l’esprit, que je me suis surpris à engloutir l’aneros jusqu’à la gorge. Je ne sais pas ce qui m’a poussé à faire cela. Peut-être par bête mimétisme ? Peut-être le souvenir de la séance relatée ci-dessus où j’ai découvert en moi-même l’essence de la lubrification ?

Même si la salive a eu beaucoup moins d’effet sur la glisse que les deux doses de Marksman injectées, l’accueil de l’amant de plastique dans mon gosier m’a fait passer un point de non retour, récompensé au-delà de ce qu’un ego masculin peut appréhender.

Je vous recommande vivement d’expérimenter autour de la lubrification, et ne pas hésiter à en remettre au cours de la séance. C’est tellement sensuel. L’orgasme du coccyx n’en ait que magnifié. Il faut savoir être généreux avec soi-même, autant qu’une femme peut l’être naturellement, lorsqu’elle est transie du désir de jouir par l’autre.

Voici ma nouvelle intuition concernant l’orgasme du coccyx : je crois qu’une fois maîtrisé, il est un destrier redoutable pour partir délivrer les Muses.

Les préparatifs de ce dernier voyage ont pour ma part commencé.

Bonne nuit

Hyménée