#13948
Bigode
Participant

Vous avez raison Madame Songe. Les femmes hésitent à en parler, ou plutôt à l’avouer. Toutes me disent la même chose, “Dans ces cas là, on n’est pour vous qu’un trou à bites”. Il est vrai que dans l’échauffement des sens, la lubricité ambiante, l’Homme redevient un homme… Mais que, bien souvent, la double, quelle qu’elle soit, est rarement préméditée. On ne dit jamais, du moins chez nous, “Tiens, on va inviter des potes, on va se faire une double”… L’appétit vient en mangeant. Celles que j’ai ou nous avons pratiquées étaient toujours spontanées. La première, qui fut une réussite d’ailleurs, s’est passée en vacances, avec un couple d’amis libertin, dans une chambre d’hôte de Gironde. Un soir, nos hôtes nous ont surpris à nous amuser dans la même chambre. Au petit déjeuner, mines graves pour les autochtones et fatiguées pour nous. Quand les autres logeurs furent partis, ils nous dirent que eux aussi étaient libertins et que… C’est ainsi que le vendredi, n’ayant personne dans leur troisième chambre, ils organisèrent une soirée avec des couples amis. Soirée de jeux de sociétés coquins pour se connaître puis place au sexe. C’est ainsi que je me retrouvai à sodomiser une dame bien coopérante, en levrette. On bouge, elle se met sur le canapé, fesses au bord et je la lèche. Changement de position, je m’assois et une amie vient me faire une fellation. Ma première compagne vient s’asseoir sur moi, me tournant le dos. Ma suceuse prend mon sexe et le positionne sur son anus. Délices… Nous jouons un peu ainsi jusqu’à ce qu’un invité vienne derrière elle et lentement lui prenne le vagin. Etonnant de sentir la bite de l’autre au travers de la paroi! Ce fut très bon! Dans la tête aussi, parce que j’étais un peu coincé par le poids des partenaires qui m’empêchait de faire de grands mouvements, mais l’excitation nous a vite conduit à l’orgasme! Ainsi, sans préméditation, j’ai vécu ma première double. Je me suis aussi fait prendre pendant que je prenais ma femme en missionnaire. Ce fut une surprise aussi. Mais non, les femmes, vous n’êtes pas ce que vous croyez parfois. Je vous respecte trop pour le penser une seule seconde! Et j’aime surtout votre plaisir!