#16035
Hyménée
Participant

Bonjour,

Une autre piste que je vous livre : il m’a fallu être amoureux fou d’une femme qui ne me désirait pas tout en m’accueillant, pour atteindre le super O’.

Je l’ai vécu ainsi : plutôt que de consommer charnellement ce qui m’était présenté comme étant ma moitié (tous les signes concordaient), j’ai accepté l’épreuve de la confrontation cruelle du désir à sens unique, et ai fini par trouver une reconciliation intérieure dans le super O’ … et une autre extérieure vu que j’aime toujours autant cette fille et que je la fréquente au quotidien.

Il y a une dissonance profonde entre ce qu’on projette sur son amour et ce que son amour incarne. Facile à dire, mais difficile d’en prendre conscience. Les divorcés en savent quelque chose.

Ce désir d’absolu que je souhaitais vivre par l’union de nos corps, je l’ai vécu par l’union du mien.

Autant vous dire que ce genre d’épreuve n’est absolument pas indispensable ! On peut vivre pleinement sa sexualité sans super O’ 🙂

Comment avoir envie d’ébats avec sa ou son partenaire s’ils nous laissent sur notre faim ?

Il me semble que la balle est dans le camp de ma partenaire : elle doit se faire désirer, sinon comment bander ?