Bonjour @super44,
Ce vous écrivez me ramène à Matthieu Ricard par deux chemins :
Les observations neuronales faites sur son cerveau confirment que … ces hyper longues cessions ont du modifier quelque peu mon cerveau …
Par ailleurs, j’ai de la peine à me projeter dans votre solitude en pleine forêt. Cela me rappelle aussi ses voyages immobiles, sa capacité à se trouver pendant de très longs moments dans la solitude extrême d’un ermitage sur un versant de l’Himalaya.
J’ai de la peine à me projeter dans cet univers sauvage, sans recours possible à la médecine, aux facilités quotidiennes de la vie en société, à la protection face aux bêtes sauvages.
C’est hors de portée pour l’instant. Peut-être quand ma fille sera plus grande. Une grande ouverture sur le Monde que vous nous proposez là, @super44. Merci 🙂
…Actuellement je pourrais presque dire que bien que je regarde devant moi,le regard se porte à l’intérieur de moi à observer tout ce qui se passe , un peu comme une vache qui regarde les voitures passer ,sans émotions et apres chaque voiture retourne à son brouttage…