#17235
hector
Participant

Vous semblez vous interroger @hector parce que le nombre, la durée et ‘intensité de vos orgasmes, loin de vous apporter l’apaisement d’un corps et d’un esprit repus de jouissance, vous plonge dans une forme d’angoisse sur vous même et sur la possibilité de partager cette forme de jouissance.


@andraneros
, je m’interroge certes, mais je profite quand même de l’apaisement qu’apporte un corps et un esprit repus de jouissances. C’est après que ça se complique parfois, quand les tracas quotidiens reviennent et s’en mêlent. D’ailleurs, il n’y aurait pas de complications si je ne profitais pas. Dans le cas où je n’en profiterai pas, j’envisagerais sans problème de me passer de cette jouissance. Mais ça nature intense, puissante quasi mystique (j’exagère un peu) me pousse à l’intégrer plus dans ma vie avec les conflits internes liés à ma vision du monde qui vont avec.
Comme le dit @Lucky, j’ai un nouvel équilibre à trouver. Il passera, ou non, par d’autres expériences
Mais sa solution sera dans l’acceptation de la possibilité de divulgation de cette nouvelle partie de moi (d’ailleurs il est probable que cette acceptation arrive avant lesdites expériences).
Mais seul, à l’abri dans mon antre, il n’y a pas de problèmes à jouer, profiter, se délecter… Jusqu’au moment où, euphorique, libre, épanoui, j’ai envie de crier cette expérience sur tout les toits, de la partager avec tout le monde et, qu’à se moment précis, toutes mes barrières, mes mécanismes de défense s’activent, se retournent contre moi et m’emprisonent.