#17550
Andraneros
Participant

Je n’ai pas réussi à ouvrir mon compte hier soir pour publier ma réponse à vos témoignages du 22 novembre. Je viens donc un peu en retard mais je pense que votre dernière expérience ne remet pas en question ce que je voulais vous dire et que je mets ci-dessous :
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Votre dernier témoignage @Lerris apporte quelques réponses aux questions que vous vous posiez dans le précédent. J’en suis heureux car je constate que vous prenez bien en compte l’expérience propre à chaque session et que vous ne perdez pas de vue l’état d’esprit qu’il faut avoir pour en tirer les bénéfices qui vous feront avancer dans votre cheminement vers l’orgasme de la prostate.

Continuez à capitaliser sur les points positifs. Quant aux points négatifs
-1) c’est normal de ne pas avoir encore atteint un vrai orgasme au tout débutde votre cheminement ;
-2) il me paraît ausssi tout à fait normal qu’après 5 heures de concentration et d’efforts pour rester détendu, pour contracter sous contrôle des groupes musculaires inhabituels, pour maintenir une forme de respiration inhabiutelle, vous soyez épuisé ;
-3) si vous ne pouvez pas vous isoler vraiment pendant vos sessions et que vous les engagez en étant dans la crainte d’être surpris et d’en subir des conséquences négatives, cette situation ne facilite pas votre cheminement mais ne le bloque pas tout à fait pour autant dans la mesure où vous pouvez toujours accentuer les aspects liés à la relaxation en lieu et place de ceux liés aux contractions volontaires ;
-4) il est normal que ces conditions ne vous permettent pas d’être aussi excité qu’il serait souhaitable pour commencer votre session ; dans votre situation je pense que le désir irrépressible d’engager une session peut remplacer avantageusement l’excitation « simplement » sexuelle ;
-5) vous savez, je pense, déjà très bien que la relaxation est une des clès de l’accès à l’orgasme ; quand les premiers tremblements et contractions involontaires surviennent essayez d’y répondre en vous détendant encore plus sans rechercher le ressenti d’un plaisir.

Avez-vous quelqu’un dans votre lit à qui la présence de l’Aneros ne pourrait pas échapper et qui en serait profondément choqué ? Si ce n’est pas le cas le principal risque de vous endormir à l’occasion avec votre Aneros en place serait, à mes yeux, de passer une nuit écourtée et ou agitée…

Caressez-vous les tétons sans retenue et cultivez la sensibilité de ce qui est en train de devenir une nouvelle zone érogène pour vous.

Complément après lecture de votre dernier témoignage du 22/11/2015 12h35.
Vous nous décrivez un état de relaxation profonde, de focalisation sur vos sensations internes à l’abri de toutes sollicitations externes et in fine de plongée dans une forme de jouissance tellement différente de celle que vous connaissez sans pic explosif ni sentiment d’être rassasié ni localisation rassurante. Je ressens, en ce qui me concerne, l’impression d’être inondé par un plaisir qui monte, monte pratiquement sans reflux dans lequel j’ai l’impression de me diluer.

Je pense avoir été très proche de l’orgasme, j’ai ressenti du plaisir, et j’ai compris que, si orgasme il y avait, il m’aurait complètement transporté… Ça a été une sorte de voyage intérieur, je m’y suis presque perdu, et c’est exactement ce que je recherche.

Je partage vos conclusions, vous êtes en bonne voie et je suis persuadé que vous aurez bientôt, malgré des conditions difficiles, l’occasion de nous décrire vos prochaines plongées dans cette forme d’extase prostatique. Bon cheminement @Lerris.
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Complément de réponse aujourd’hui 23 novembre :
Je vous encourage vivement à engager une session consacrée à la relaxation, au relâchement musculaire et à l’accueil des sensations internes liées à l’état de votre corps et aux effets induits par la présence du masseur. Focalisez votre conscience sur tout ce qui vient de l’intérieur, si besoin mettez un masque sur les yeux et assurez-vous qu’aucun bruit ne vienne troubler votre chambre.