#17929
Lerris
Participant

Salut à tous,

Je passe juste donner quelques nouvelles.
Depuis mon dernier message, j’ai un peu décroché de l’Aneros et de l’orgasme prostatique. En fait, c’était devenu un peu fatigant d’être tout le temps en train d’y penser ou d’essayer. J’avais atteint une plus grande sensibilité, notamment au niveau du périnée, de l’anus, mais aussi de la zone située juste sous le coxis. Je sentais également beaucoup plus lorsque ma prostate se réveillait, cela formait comme une pomme dans mon bas ventre.

Mais, malgré cela, je n’avais pas l’impression d’atteindre véritablement un orgasme prostatique. J’étais très frustré et il m’arrivait encore d’éjaculer alors que ce n’était pas ce que je recherchais. Bref.

Je n’ai pas réessayé l’Aneros et depuis quelques jours j’y pense vraiment moins. Je me suis un peu détaché de tout ça. Si j’ai envie d’un petit plaisir, alors je me masturbe normalement, au moins j’évite la frustration.

Ce qui est intéressant, c’est que la nuit ou le matin, quand je suis dans un état semi-conscient, mon corps agit tout seul. Cette nuit, par exemple, j’étais entre l’éveil et le sommeil, et j’ai vraiment senti une onde de chaleur et de plaisir monter, monter, monter, ça ne s’arrêtait jamais. Il n’y a jamais eu d’explosion et donc s’en était à un niveau presque insoutenable. Je crois même avoir inconsciemment essayé de contenir cette vague tellement c’était fort.

Donc voilà… je sais que cette sensation est possible à atteindre, mais pour l’instant je ne peux la toucher du doigt que lorsque mon esprit est vraiment sur off.

En fait, du moment où je commence à me concentrer sur les sensations de contraction, que j’accorde mon attention aux sensations “internes”, je sais que c’est perdu. Alors que la nuit, ce que je ressens est plus “extérieur”, c’est difficile à expliquer… Ce sont des sensations “de surface”, des sensations globales, comme si mon corps entier vibrait ou se remplissait de chaleur. Et là, ça marche et je sens que je m’ouvre.

Du coup, en ce moment, j’essaye simplement de me détendre, sans chercher autre chose. Même si je dois souvent maîtriser ces contractions qui s’imposent à mon esprit. Je me satisfais des sensations nocturnes, je les laisse se développer. Je sais que, si j’arrive à atteindre un état de relaxation vraiment profonde durant la journée, alors je pourrai les reproduire. Ça va sans doute demander du temps.