#20529
nydor01
Participant

Je suis dans un moment de découverte quelque peu frénétique, qui me conduit à rapprocher les séances comme jamais auparavant (en plus, je reçois mon Aneros aujourd’hui !)… Mais, je vais me calmer et envisager les choses avec plus de sérénité, notamment parce que j’ai la sensation de trop solliciter les zones annale et rectale/prostatique.

Je suis surpris depuis deux semaines de la vitesse à laquelle je progresse dans la découverte de l’orgasme prostatique.
C’est comme si j’avais trouvé soudain la solution d’une vieille énigme.
Ceci étant, je crois que j’avais une base très favorable :
– une connaissance du plaisir prostatique par stimulation.
– une absence de frein psychologique.
– une pratique de la relaxation et de la respiration profonde.
– et surtout, j’acceptais cette fois le principe d’apprentissage dans la durée, c’est-à-dire de la patience.

Donc, hier nouvelle session, et deux nouveautés.
Je pratique comme la fois précédente, toutefois je ressens moins la présence de ma prostate et mes spasmes sont moins puissants. Même si c’est agréable, je suis un peu déçu (on veut toujours mieux et plus…). Trop d’attente, orgasme un peu forcé, etc.
Je pense arrêter, et, sans a priori, je ramène mes cuisses sur ma poitrine, les mains sous les genoux. Cette position exerce une pression sur tous les muscles de la zone du bas ventre, mon rectum se serre tandis que mon anus s’ouvre un peu. La sensation est agréable. Je décide de faire des contractions, un coup, je serre l’anus, un autre, je pousse vers l’avant en comprimant mon rectum.
Et là, bing ! Les sensations sont de nouveau très fortes, je sens les contours de ma prostate, et toute la zone durcie de plaisir.
J’ai une série de spasmes, mes yeux s’ouvrent tous seuls en grand sur le plafond, comme un halluciné !
Je reviens au calme. De nouveau, je pense arrêter, j’étends cette fois mes jambes, et reprend ma respiration. Mais mon esprit est toujours focalisé sur ma prostate, qui picote encore. Sans bouger, je sens le plaisir qui revient, uniquement, en me focalisant sur les sensations.
Mon bassin se soulève légèrement, et là, nouvelle découverte, peu à peu, guidé par mes sensations, sans effort particulier, j’arrive à ressentir les muscles qui entourent ma prostate. Pendant quelques secondes incroyables, j’arrive à la masser (elle me semble bouger d’avant en arrière) uniquement par l’effet des muscles qui la cernent. Hop ! nouvelle série de spasmes voluptueux. En suivant, j’essaye de reproduire le mouvement des muscles autour de ma prostate, mais sans succès. De ce point de vue, je pense être au début d’un autre apprentissage.

Je ne pensais pas atteindre cette phase aussi vite, je n’imaginais même pas qu’il soit possible de ressentir comme cela ma prostate, et pouvoir la masser de l’intérieur grâce aux muscles qui l’entourent ! C’est pour moi incroyable !

De fait, à ce stade, je me demande ce que me réserve l’Aneros : déception, ou feu d’artifice ?