#21110
alphanute
Participant

Merci @andraneros pour le conseil de relâchement des muscles lors des premières crispations. Le commentaire de fidelio et ta réponse complète bien les choses.
Je vais également travailler dans ce domaine.
Pour l’aspect jouissance par vague et sur la durée, la seule fois où le plaisir a duré pour moi durant 15min, j’ai bien pris conscience qu’il n’y aurait pas une montée de plaisir et une “libération” comme avec une éjaculation. Mais plutôt un plaisir plus fort que la montée en tension de la sève, et sur une durée plus longue, plus diffuse dans le corps. Et au final, bas c’est pas mal! Effectivement, ça change des repères que l’on a d’avec la jouissance du pénis. Car on est aussi beaucoup plus formaté sur ce type de plaisir, avec un début et une fin bien identifiée (éjaculation), qui clôture la chose et qui est le but à atteindre.
Cette ouverture d’esprit sur différents types de plaisirs est très intéressante je trouve, car cela permet aussi de s’ouvrir sur d’autres perceptions de son corps et d’être plus attentif aux interactions de l’environnement sur soi : vibration d’un téléphone dans la poche et se concentrer sur la propagation dans le muscle de la cuisse, courant d’air qui caresse la nuque… Le plaisir n’est pas du tout orgasmique, mais ça ouvre à être attentif à ce qui se passe sur et en soi comme ressenti.
Je ferrai part de mes nouvelles expériences aneros ici alors!
En tout cas, rien qu’à l’idée d’une séance, je ressens une excitation interne, mais pas une excitation par le pénis, comme on peut avoir comme quand on sait que l’on va se servir de son sexe. La différenciation des plaisirs semble s’intégrer!