#21954
aneveil
Participant

Merci Papy6748 pour votre témoignage aussi détaillé que rassurant, mais j’espère ne pas avoir à subir de biopsie et si je dois consulter un urologue c’est pour une “simple” petite hypertrophie bénigne de la prostate révélée par échographie.
D’ailleurs je ne serais pas étonné que cela se soit arrangé depuis avec les exercice de Kegel, la pratique de l’Aneros et les orgasmes A-less, car je passe de plus en plus de nuits sans me lever pour aller uriner et le jet est devenu globalement plus puissant…

@Matou8313
Merci pour ces précisions très détaillées concernant le taux de PSA et le fait de “jouer avec sa prostate”,
cela me rassure car je n’ai pas vraiment envie d’arrêter “d’y jouer” 3 mois avant de rencontrer l’urologue… 😉 Sinon vous avez raison, car j’ai quelque peu dévié du sujet initial lança par Arnaud et je tiens à m’en excuser.
Et si Andraneros l’estime nécessaire il serait peut être bon de déplacer les posts étrangers au sujet initial vers un nouveau sujet du genre “Plaisir prostatique et taux de PSA”

Pour revenir un peu plus dans le sujet de discutions et dans le prolongement du post d’Andraneros, je vous encourage à lire si ce n’est pas fait le très intéressant témoignage d’Hyménée dans “Mon nouvel amant le G-Spot Metal Wand”

Se laisser guider par le plaisir au-delà de la douleur : c’est très simple : tout comme la prostate, toute la paroi du rectum et colon ont plaisir à être massé. Petit à petit, les nerfs s’éveillent et tout comme avec le gland, on finit par chercher l’orgasme, c’est-à-dire la détente des muscles au-delà de la maitrise volontaire. On peut donc se chauffer les sphincters intimes en les branlant d’abord doucement puis énergiquement. A un moment, vos sphincters ne tiennent plus, abdiquent, et vous orgasmez profondément. La détente est vraiment profonde et invite à une nouvelle détente. Vous sentez vos parois et vos sphincters se gorger de sang, vifs, aux aguets de plus délicieuses sensations. La saturation de plaisir vous fait lâcher les muscles et c’est l’orgasme.