#22543
Rodward
Participant

Bonjour, bonsoir !

Je vais commencer par faire le point par rapport aux questions qui m’ont été posées ainsi qu’apporter quelques nouveautés :

-1) Peux-tu essayer de ne pas terminer tes sessions par une masturbation, pour vivre cette expérience d’un très haut niveau d’énergie sexuelle, voire d’énergie vitale que procure le plaisir prostatique ? Tu pourras toujours te masturber sans aneros une ou deux heures après ta session, ou même te masturber, sans masseur, une ou deux heures avant ta session pour tester ton aptitude à désirer la caresse de ton masseur.

Je n’ai hélas pas pu expérimenter cela, car cela ne me concerne que moi, mais si je me masturbe quelques heures avant, j’ai bien peur de ne plus avoir l’envie d’expérimenter une session de massage prostatique dû à la fatigue ou manque de désir. J’ai essayé cependant après, mais ne pouvant exercer mes séances qu’avant l’endormissement. Après une séance sans terminer par une masturbation donc, la tension et les envies sexuelles reprennent places et deviennent importantes, trop importantes pour pouvoir m’endormir sereinement, à chaque micro-frottement du pénis sur la couverture, sous vêtement ou autre, l’envie devient de plus en plus forte, et je ne peux lutter…

-2) Peux-tu comparer, si tu ne l’a pas déjà fait, ce que tu ressens maintenant pendant une masturbation sans masseur avec ce que tu ressentais dans les mêmes conditions il y a plusieurs mois ? c’est une autre manière de mesurer tes progrès et les transformations de la manière dont tu gères ton énergie sexuelle.

J’y ai pensé plusieurs fois mais ne l’ai jamais exprimé ! Oui, depuis que j’ai découvert le massage prostatique (les toutes premières séances) les masturbations traditionnelles sont beaucoup plus fortes et plaisantes à long terme. Elles sont d’autant plus fortes les jours suivants une session. On ressent une boule d’énergie plus ou moins puissante lors du point de non retour venant de la prostate.

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Il n’y a pas si longtemps je pensais avoir atteint le plafond de plaisir menant à l’orgasme prostatique comme je le citais dans un autre post, je pensais avoir atteins le stade 9 / 10 du plaisir. Je me trompais à mon plus grand plaisir !

Je ne pourrai hélas rentrer dans les détails de comment j’y suis arrivé et que-ce que je ressens à chaque instant… Au plus je prend de plaisir, au plus j’ai des troubles de la mémoires quand à mes sessions, je ne sais pas si cela est lié à la fatigue ou au lâcher prise. Cependant, lors de ma dernière session, beaucoup de choses ont évolué, et je vais donc m’aider de la carte au trésor qui résume pas mal ce que je pense avoir ressenti :

– Dès les 15 premières minutes après le début de la session seulement, j’ai pu ressentir un plaisir intense soudain et relativement bref (Quel démarrage !) ce plaisir n’a eu lieu qu’au début mais a laissé derrière lui l’énergie (Difficile à décrire) dans tout le corps, c’est cette énergie qui procure un léger plaisir lorsque je bouge très légèrement mon corps.

– Après je n’ai pas vu le temps passer et pas mal de choses se sont enchaînées. En premier lieu, l’apparition de ces fameuses “Fortes contractions involontaires” accompagnées d’une accélération de la respiration soudaine et incontrôlée (C’est bon signe !) au début je n’ai rien ressenti. La 2e fois qu’elles sont apparues le plaisir montait, puis la 3e fois c’était des plus agréables. Je pense qu’on peut parler d’un min-mini orgasme, étant donné que les sensations étaient très plaisantes.

– Un peu plus tard (Vive la précision spatio-temporelle … Lol !) c’est là que c’est devenu intéressant et où j’ai le trou de mémoire le plus grand. Je dirai que j’ai commencé par ressentir un grand moment plaisant dans le rectum (Je n’emploie pas le terme de plaisir car c’est différent de ce qui va suivre) mais j’insiste sur le “grand” qui ne passe pas inaperçu, puis les sensations de plaisir intenses qui ont émergées timidement de la prostate (Ou d’une boule de feu de plaisir, c’est l’image qui m’est venue en tête à ce moment de la session) qui a pris de l’ampleur petit à petit. (C’est drôle, car en écrivant cela, je me rend compte que le plaisir était intense, mais en petite quantité, c’est assez difficile de le décrire).

Lorsque j’ai fini par une éjaculation, d’habitude je “temporise” un petit peu en relâchant la pression avant le point de non retour, mais cette fois-ci c’était impossible tellement l’orgasme éjaculatoire s’annonçait grandiose. Tellement grandiose qu’en effet, j’en ai été pris de grand spasmes musculaires.

Je suis content d’être parvenu à ce stade, et j’ai l’impression que mon cheminement ressemble à un verre à pied, à la base j’expérimentais beaucoup (positions, positionnement du masseur, détente, diverses choses), que l’évolution stagnait, mais progressait lentement, et que je viens de passer au stade de la “contenance du verre”, c’est-à-dire l’apparition du vrai plaisir qui se manifestera sous plusieurs formes, en plusieurs expériences.

Amicalement,

Rodward