#22985
bzo
Participant

écrit à chaud au sortie d’une petite séance d’une demie heure bien compacte et bien dense
qui me confirme dans une nouvelle façon que j’ai depuis hier de bouger le masseur.
Encore plus d’intensité à la clef, toujours plus loin, toujours plus haut.
Il y a les requins de la finance insatiables après l’argent et le pouvoir qu’il confère,
moi je suis un requin du massage prostatique, insatiable au plaisir qu’il procure, accroc aux orgasmes à répétition qu’il engendre si on le cajole comme il faut.
Il y a la fameuse citation d’Einstein, “Deux choses sont infinies : l’Univers et la bêtise humaine. Mais, en ce qui concerne l’Univers, je n’en ai pas encore acquis la certitude absolue.”
On pourrait rajouter en guise de boutade qu’il y a aussi la jouissance humaine qui semble ne pas avoir de limites.

Cette nouvelle approche que j’utilise depuis hier est la suivante, je vais essayer de décrire tout cela de façon imagée:
à angle à peu près droit, j’appuie le masseur sur la prostate plus ou moins fort
et puis je bouge, je bouge latéralement les hanches, je serre les fesses, je me tortille un peu
mais toujours je garde le masseur appuyé contre la prostate, je change constamment de position, je suis toujours en mouvement, la difficulté est de garder le masseur bien appuyé sur la prostate, je me mets sur les coudes, j’appuie plus fort, du fait du changement de position, l’angle d’appui du masseur change, je m’assieds m’appuyant sur les bras un peu en arrière du corps et toujours le masseur comme une tête chercheuse collé contre ma prostate, s’il se détache, j’essaie de le recoller mais sans me hâter, au contraire, je ponctue par des petits temps morts où je me concentre sur ma respiration un instant, avant de ré-appuyer en changeant la pression à chaque fois, je ferme les yeux, je goûte à l’intérieur les sensations, assis bien droit sur le masseur, j’ai l’impression d’être écartelé par celui-ci, tout mon fondement se met à trembler, sortes de contractions involontaires, c’est délicieux, cela ne dure que quelques secondes, dommage. Je me recouche, j’ouvre les yeux, le plaisir semble maintenant se répandre vers l’extérieur par les yeux, plus être vécu directement dans la chair aussi, je ré-appuie plus fort le masseur contre la prostate, je serre un peu les fesses en élevant légèrement la droite, ce qui provoque un petit glissement du masseur sur la prostate tout en changeant la pression, etc, etc

C’est quoi l’intensité d’un orgasme prostatique?
Ma réponse à cette question se forme peu à peu, des bribes de réponses du moins,
l’intensité d’un orgasme prostatique dépend de la longueur de celui-ci, au plus votre orgasme s’étire, au plus il va devenir intense.
La première leçon que j’en ai tiré, c’est que dans ces moments-là, il faut essayer de rester le plus détendu possible,
ménager sa monture en quelque sorte pour ne pas l’essouffler trop tôt, des actions déclenchées directement par notre conscience sur la pointe des pieds pour l’instant et laisser le plus possible faire le corps,
idéalement il faudrait ne plus rien avoir à faire et que tout s’enchaîne malgré nous, idéalement