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Andraneros
Modérateur

@Rodward tu nous donnes un magnifique témoignage de tes progrès dans la découverte du plaisir prostatique. Non seulement ta jouissance est de plus en plus intense :

je préfère être seul pour pouvoir totalement m’abandonner à mes sessions et pouvoir hurler de plaisir si il m’en vient l’envie…
j’ai passé une nouvelle petite étape, celle du plaisir grondant prenant toute la place du bassin annonçant un orage de plaisir

mais en plus tu ressens de plus en plus souvent les « effets secondaires » apportés par ta pratique du massage prostatique

J’ai également remarqué que… le massage prostatique m’a donné un plus dans la vie de tous les jours, le soir avant de m’endormir, le matin au réveil, assis dans la voiture, dans mon bureau, ou même parfois durant le passage aux toilettes, il m’arrive d’avoir des petites contractions involontaires qui sont les bienvenues et apportent toujours un petit réconfort.

Je me réjouis de lire que ces nouveaux plaisirs dans lesquels tu baignes régulièrement avec délectation nourrissent à nouveau autant, sinon plus qu’à tes débuts, ton excitation et ton désir :

Septembre 2016 – J’ai hâte de voir le prochain stade avec impatience !
Octobre 2016 – Je vous tiens informé de mes prochaines séances que j’attends avec impatience !
Septembre 2017 – (Rien que d’y repenser, ça me donne encore plus envie)…
J’attends avec impatience de pouvoir re-pratiquer régulièrement des sessions…
J’attends donc la suite de mon cheminement avec impatience !

Tu nous le dis trois fois dans ton dernier message, plus que dans tous les précédents. Si tu parviens à canaliser ton désir et ton excitation ton cheminement te conduiras à vivre des états de transe qui te feront oublier les super masturbations de fin de session que tu nous a décrites précédemment.

Je pense que maintenant tu devrais tirer profit de tes moments d’ « effets secondaires » pour engager des sessions sans masseur, en pratiquant relaxation et respiration abdominale, légères contractions volontaires et concentration sur tes sensations internes, relâchement musculaire pour laisser se développer les contractions involontaires et libérer la circulation de l’énergie dans ton corps. A condition bien sûr que les circonstances te le permettent, ce qui ne devrait pas être un problème le soir au coucher par exemple ou si tu peux rester quelques longues minutes sans être dérangé. Cette pratique, en plus de tes sessions régulières, t’aidera beaucoup à développer ta sensibilité orgasmique et à ouvrir ton cerveau à d’autres formes de jouissance.

En octobre 2016 tu notais ton plaisir entre 4 et 7/10. En décembre 2016 tu le notais entre 8,5 et 9/10. En avril 2017 tu prenais conscience qu’en réalité tu avais crevé le plafond du plaisir que tu connaissais avant le début de ton cheminement :

Oulà, on a bien dépassé l’échelle, mais c’est cependant pour retomber sur plusieurs autres échelles différentes !

J’ai l’impression que désormais tu dépasses ces niveaux qui étaient déjà bien supérieurs à ton plafond initial. Ton cheminement continue. Sois persuadé qu’il est loin d’être terminé. Prépare-toi à faire encore de merveilleuses découvertes.

Tu ne mentionnes plus ton besoin de te masturber après tes sessions. Tu nous disais le 3 avril :

Ce n’est plus une besoin obligatoire comme c’était au début, mais c’est un petit plus que je fais de mon plein gré

Tu le confirmes d’ailleurs le 23 juillet :

Cependant les effets de l’éjaculation m’ont fait hurler de plaisir, heureusement que j’étais seul …

Comment évolue ta pratique masturbatoire avec la progression de l’intensité du plaisir que te procurent maintenant tes sessions régulières ?
Bon cheminement @Rodward.