#24447
bzo
Participant

il y a dans le plaisir sexuel,
dans cette sur-combustion quelque part dans la chair
quelque chose de si miraculeusement unique, hors du temps et hors de l’espace
que les instants d’après quand tout est fini, quand tout est consommé
c’est comme si tout ce qu’on a ressenti, n’avait jamais existé,
comme si on s’était réveillé d’un rêve de la chair

ainsi la fois suivante, tout sera neuf encore une fois,
ce sera comme si on n’avait jamais rien ressenti de pareil
pour la énième fois