#24546
bzo
Participant

je n’avais pourtant vraiment pas à me plaindre jusqu’à il y a quelques jours depuis mes débuts,
j’ai connu pas mal de super O, certains de plusieurs minutes,
des séances mémorables où les orgasmes s’enchaînaient pendant une demie heure, une heure,
parfois jusqu’à épuisement et je m’endormais tel quel,
mais aujourd’hui je me rends compte
que tout cela, c’était comme si je n’avais roulé jusqu’ici qu’en première,en deuxième ou en troisième
et là tout d’un coup j’ai découvert qu’on pouvait en quatrième et en cinquième

colossal

je sais maintenant à quel point les mains sont un élément essentiel au plaisir prostatique,
pour que le corps en soit un acteur à part entière et non pas seulement un support et un réceptacle.
Il y a 2,3 jours il y a eu ce déclic, j’ai commencé à me caresser,
oh je me rends compte maintenant que je le faisais trop frénétiquement, trop systématiquement,
depuis j’ai appris à laisser errer mes doigts plus lentement,
en unisson aux mouvements du masseur contre ma prostate, de mes hanches qui ondulent,

mes nombreux changements de position, mes membres, mes mains, le masseur,
tous s’essaient de s’écouter, se questionnent, se répondent,
l’un marque le tempo pendant quelques temps, puis l’autre,
l’un fait un solo tandis que les autres s’arrêtent quelques instants,
tout mon corps semble être devenu une chambre de résonance de ma prostate,
c’est comme si les doigts sur ma poitrine, se déplaçait directement dessus
tandis que le masseur vient se presser d’un autre côté
et que mon bassin se frotte contre elle au rythme de son chaloupement lascif,
le plaisir avant se concentrait dans mon bassin puis irradiait au fur et à mesure de plus en plus fort,
là maintenant je le ressens directement partout dans tout mon corps
comme si ma prostate était un peu partout
en plus que d’être toujours intensément vissé au milieu de mon bassin
comme un sexe humide et entrouvert