#24560
Peri
Participant

Le deuxième essai est plus concluant.
Dans la baignoire peu remplie, j’insère l’objet. Je laisse l’eau couler. La montée du niveau étant pour moi sensuel et rassurant. Je me détend et tente d’évacuer les pensées de trop. L’excitation grandit pendant une bonne heure. Le plaisir est de plus en plus important. Là, se produit des contactions involontaires donnant au masseur d’amples mouvement de va et vient. Je suis au bord de la jouissance et bam ! je me crispe et resserrant l’anus. En me plongeant à nouveau dans la détente et le relâchement, je me rend compte que la zone au niveau de mon diaphragme (ou plexus solaire) n’est pas relaxée. La seconde vague arrive, le plaisir est stoppé au même stade et semble s’évanouir par tous les petits nerfs. Contrarié, je me redresse en m’adossant à la paroi de la baignoire. J’évacue la frustration en aidant un fantasme ou ressentit passager. Ça marche ! L’excitation repart de plus belle. Je retourne dans l’eau tout en me caressant les tétons puis je m’applique à bien veiller de garder une respiration apaisante. La vague suivante est plus contrôlée, le plaisir diffus sans blocage. Celle d’après encore, me fait remarquer que mes abdos et PC se contactent fortement durant les déferlantes. Je les laisse faire tout en accordant ma respiration avec le diaphragme.
Les vagues orgasmiques s’enchainent et se succèdent durant la demie heure qui suit. Je ressens bien les deux bras se positionnant sur ma peau durant les contractions. Leur emprise avec celle de la tête du masseur est implacable. Allonger sur le côté droit dans l’eau chaude, je me cambre pour m’ouvrir d’avantage au plaisir.
Dans ma tête, durant un moment, je suis une jeune femme blonde à la peau très blanche et aux cheveux blonds comme les blés. Tout un tas de mots et de phrases en allemand afflux dans ma tête.
La dernière vague passée, je me convainc que cela suffi pour cette fois. Mon désir et encore immense mais je sens que plus serait trop. Cette “o-zone” traversée fut la meilleure en terme d’intensité et de régularité de la succession des orgasmes.
En repensant à mon expérience germanique, un extrait de film me parait en rapport :

A-nus.