#25036
Jieffe
Participant

quand bien même, ce serait le cas, il n’y a aucun problème à cela,

Je ne sais pas tout de même s’il n’est pas nécessaire de laisser du temps au corps (prostate, cerveau???) de s’habituer, de construire ce nouveau lien.

j’ai pratiqué pendant des mois tous les jours et les week-end et les jours de congé, 2,3 fois par jour,

Oui, mais il semblerait que certains soient prédisposé à cette pratique, et que d’autre aient besoin de temps pour créer les connexions. Comme certains sont plus doués dans la pratique d’un sport, alors que d’autre ont besoin de plus de travail.

(enfin j’espère pour toi que tu ne seras pas du genre piquet avec juste les muscles autour du masseur qui bougent),

Alors c’est vrai que j’ai écrit ça. Ces mouvements déclenchent je pense les vagues de plaisir que je ressens. Viens ensuite le plaisir à proprement parlé, et là, je ressens l’envie de me caresser. J’ai rapidement fait allusion à ça, mais c’est vrai que je n’ai rien précisé. Lorsque je ressens du plaisir, je laisse faire, et bien souvent je soulève mes fesses, relève mes jambes, me caresse, les hanches, le corps, et les seins. J’ai découvert la sensibilité des seins souvent décrites, et bien c’est magnifique. J’avoue qu’à y regarder de plus près, je me sens un peu ridicule à me caresser les pectoraux et me pincer les tétons, mais c’est si bon qu’on s’en fout. Cela me rapproche de cette femme que je cherche en moi et que nombre d’entre vous ont trouvée.
Alors non je ne reste pas statique, mais je reste prudent. Lors de mes premières séances, le fait de me caresser à fait avorter la montée de plaisir. Après réflexion, je pense que c’est parce que j’ai essayé de déclencher le plaisir par les caresses, alors que les caresses font monter le plaisir une fois qu’il est là, même au stade embryonnaire. Enfin, c’est ce que j’ai analysé pour le moment. Mais oui, quand le plaisir est là, c’est open bar (même si je le rappelle je ne connais que des vagues de plaisir).

cette deuxième période, on ne peut pas vraiment se lasser

Je t’ai livré une réflexion à ce sujet sur ton journal

la féminité en tes profondeurs peut bien monter et prendre les rennes de la séance
donc que la notion de se faire l’amour est vécue dans ta chair durant l’action
et n’est pas qu’une notion que tu auras lu sur internet mais éloignée de ta pratique,

Dieu t’entende mon ami, Dieu t’entende. Ce serait l’un de mes buts.

on peut dire aussi qu’en entrant cette période,
on va progressivement ne plus ressentir le besoin d’une séance quotidienne:

… on se sent divinement apaisé après,
le sentiment d’assagissement dans les profondeurs est total,
le silence après la musique de Mozart, c’est encore du Mozart

Un sentiment de plénitude, qui a besoin lui de s’émousser pour renouveler le désir de recommencer?