#26234
Jieffe
Participant

Ce qui revient souvent est l’emprise de la fatigue sur nos soirées. Il est alors plus simple de se caler devant une série

Nos premières années nous en parlions en se disant qu’il faudrait se réserver des soirées de grande tendresse. Aujourd’hui cela semble un discour lointain.

Arf, malheureusement, j’aurais tendance à dire ‘Bienvenue au club’….
Je ne sais pas si c’est une fatalité, ni comment ça se soigne, mais j’ai bien peur que ce soit récurent et assez habituel, enfin pour ce qui est de mon expérience.
Et comme je te l’ai dit, de mon expérience toujours, l’herbe n’est pas plus verte ailleurs. Elle l’est au début, et se ternit assez vite.
Si tu l’aimes, sois patient, explore ta sexualité tout seul, ça reviendra certainement.
Je sais, rien d’encourageant. J’aimerais pouvoir t’aider, te donner des pistes, mais je n’en ai pas vraiment. Hors mis peut-être le fait de l’aider du mieux que tu peux, ainsi elle sera moins fatiguée, mais je ne suis pas certain que ça fonctionne, et lui rappeler vos conversations….
Je crois que tout ça est dû à une séparation des chemins des hommes et des femmes à l’approche de la quarantaine. Il semblerait que nous ayons plus besoin de sentir l’amour de l’autre, au travers de la sexualité et de la sensualité, alors qu’elles aspirent à plus de cocooning, et pouvoir se consacrer pleinement à l’éducation de leurs enfants. Cela crée une sacrée divergence et des tensions qui sont je te rejoins dangereuses.
Si tu n’as pas trouvé la sexologue efficace, rien ne t’empêche d’aller en voir une autre.
La mère de mes enfants était d’accord pour aller en voir une (ou un) mais n’a jamais franchi le cap. La tienne l’a fait, c’est déjà une bonne chose.
Bon courage Helixir.