#26270
bzo
Participant

allons bon, je suis en congé aujourd’hui,
du coup vers midi j’ai eu envie de vérifier si je parvenais à revivre les sensations de hier soir

lente insertion, j’offre ma croupe au masseur,
je commence à me pincer un peu en même temps une fesse et enfoncer mes ongles de l’autre main dans mon flanc,
je suis plaqué contre mon siège par la vitesse du décollage,
j’arrive à peine à respirer, mon orgasme champagne d’accueil
s’est mué en super O magnum d’accueil,
une trentaine de secondes dans une fusée s’élançant vers le ciel

je confirme, la douleur n’existe pas durant le massage prostatique,
en tout cas chez moi, chaque coup d’ongle accrochant la peau,
chaque morceau de bidoche tordue, chaque pincement de la chair
se transforme instantanément en plaisir décuplé,
c’est presque trop fort, je dois m’arrêter souvent car je suis essoufflé comme par un intense effort physique,
il n’y a aucune temps mort,
en une dizaine de minutes j’ai l’impression d’avoir déjà derrière moi une séance de plus d’une heure
tellement je suis dans un état euphorique où les orgasmes s’enchaînent à la queue leu leu
avec la facilité qu’on a quand on est dans un très bon jour et qu’on est bien échauffé

les torsions de chair, les pincements, les coups de griffe, sont des variantes extrêmes de caresses,
aucune limite ne me fait peur, j’ai déjà brisé tellement de tabous et passé tellement de frontières,
elle est aux commandes et elle a à présent des pulsions extrêmes,
des gants de velours, des griffes de panthère et des tenailles,
je suis en train de goûter aux orgasmes côté obscure de la Force,
oh la la, c’est gratiné