#26284
bzo
Participant

Et bien j’attends ton retour, je suis vraiment étonné de ce que tu écris

je comprends que tu te poses des questions, cela parait assez incroyable,
ma pratique est désormais arrivé à un point de progression que je n’aurais jamais osé espérer,
le fait d’avoir découvert que les mains peuvent aussi griffer, tordre, presser, pincer,
et que cela démultiplie et diversifie de façon phénoménale le plaisir prostatique,
cela révolutionne de fond en comble ma façon de faire depuis quelques jours

garde cela bien à l’esprit, cela pourra te servir un jour quand tu auras atteint un bon niveau
car je serai étonné que ce que je suis en train de décrire, ne soit vrai que pour moi et rien que pour moi,
il n’y a pas de raison que d’autres ne puissent le reproduire,
la douleur n’existe pas, en tout cas, celle que les mains peuvent s’infliger sans outil, sans objet extérieur,
dans le courant de la séance
telle que je l’ai décrite, se transforme quasi instantanément en plaisir
quand tu synchronises l’action des mains avec les pressions du masseur sur la prostate,
c’est magique, tu te pinces par exemple et en même temps tu viens presser la prostate
et une fusion semble se faire avec les sensations émises par celle-ci
et celles provoquées par le pincement,
même mieux que cela, beaucoup mieux que cela, j’ai parlé plus haut de deux potentiomètres,
le fait est que je peux contrôler l’intensité et aussi la variété de ces sensations
dans une certaine mesure

Les deux potentiomètres ou curseurs dont je parle,
sont d’une part la pression du masseur sur la prostate qui permet de faire varier les sensations
et aussi avant tout garantir que cela devienne et après reste du plaisir et non pas de la douleur
et puis d’autre part, la force du pinçage ou de la torsion ou des ongles enfoncés dans la peau, etc
C’est l’autre curseur qui me permet de contrôler l’intensité du plaisir qui vient comme un turbo,
des brusques injections comme un alcool fort

hier soir, je n’ai pratiquement plus changé de position, suis resté tout le temps sur le dos,
bougeant mon bassin, mes membres, mon corps tout de même beaucoup
mais parfois même je restai complètement immobile,
les seuls choses qui bougeaient encore, c’étaient ces deux curseurs,
j’augmentais la force du pinçage puis si je sentais
que le surcroît de plaisir qui naissait, redevenait un peu douleur
alors j’augmentais la pression du masseur et immédiatement c’était de nouveau du plaisir

j’ai appris rapidement qu’on pouvait ainsi obtenir des tas de nuances en jouant avec ces deux curseurs,
varier la coloration et l’intensité de ce que l’on ressent, à la demande,
c’était magique, je restais ainsi immobile pendant de longues minutes,
juste agissant sur la pression du masseur et la force du pinçage,
le plaisir variait, montait en intensité, redescendait,
le registre des variations pouvant être obtenues avec les mains est sans limite désormais,
je pinçais puis je passais à des caresses puis j’enfonçais un peu les ongles dans la peau,
c’est fou ce que l’on peut devenir imaginatif avec ces mains,
j’étais comme un musicien avec mes doigts jouant sur mon corps comme d’un instrument,
c’était grandiose, fabuleux
et puis le bassin , les hanches participent aussi la plupart du temps,
bougeant, offrant toutes sortes de variations

en quelques minutes, j’étais complètement en rut, hors de moi-même,
les injections de plaisir telles que je les ai décrites plus haut,
boostant le niveau général d’excitation de façon considérable

j’espère que mes explications sont plus claires