#26331
Spele42
Participant

@andraneros

Ce serait bien si, maintenant, dans un souci expérimental, tu modifiais provisoirement ta pratique en espaçant nettement plus tes sessions

Hier j’ai compté au minimum 3 séances sans Aneros – le matin après la séance de muscu, le soir et cette nuit entre 12h30 et 2h00 puis de 4h30 à je ne sais plus quelle heure. Du coup quand il a fallu se lever à 6h20 et enchaîner sur la journée de taf ! Ouille !

Du coup je me suis astreint à essayer une pause, je l’espère salutaire. Mais enfin le voyage aller en voiture au boulot + le retour où il faut n’en pas se laisser aller à l’unisson des vibrations mécaniques du véhicule ! Sans parler des moments où l’esprit divague un peu et on pense soudain à la chose… difficile de ne pas réveiller la prostate titilleuse. Je ne me plains pas. Je sais que beaucoup voudrais sans doute être à ma place.

Même si je me défends de ne pas chercher à atteindre à tout prix le super O, je ne peux pas m’empêcher d’y penser à certains moments où les sensations sont super fortes lors de mes séances. Je sens quelque chose qui monte, qui monte pendant plusieurs minutes 5 a 10 avec caresse sur le téton plus pression avec le doigt sur périnée le plaisir est super intense avec ces fameuses rétractations contractions de la verge entraînées frénétiquement par les mouvements involontaires du rectum et puis non en fin de compte, ça retombe doucement et ca recommence de plus belle jusqu’à ce fameux plafond. Mais comme je l’ai deja lu, ne suis je pas influencé par l’habitude de l’orgasme ejaculatoire ? Je pense que si un peu, quand même. D’ou ma question sans doute posée milles fois ici : y a t il quelques chose après ?

Autre chose intéressante, certaines fois sans crier gard pendant la période de chauffe, comme par anticipation je commence à râler comme une bête doucement avant même d’avoir le moindre soupçon de plaisir « physique » lié au massage de la prostate. Dans ces moments c’est comme si j’avais un pré « air » orgasme. Est-ce bon signe ? Est-ce que cela doit être développé ?
Et puis, j’ai peut être déjà demandé, mais ces fourmillement agréable de milieu de séance sont ils le catalyseur du super O, juste avant ou l’un des nombreux effets adjacents du plaisir prostatique comme les tremblements par exemple ?

Désolé, j’ai beaucoup de question – mais parce que je dois aussi occuper l’esprit (vous avez « pervers » ;-))