#26522
Ch313
Participant

De la féminité
Pour Bzo, Jieffe et d’autres peut-être, je vais vous conter une aventure.
C’était il y a quarante ans. J’ai eu une relation extra conjugale qui a duré plusieurs années. Elle n’était pas cachée, connue de tous, même de ma femme. Très régulière, au minimum hebdomadaire avec des week-ends (longs WE parfois).
C’était la plus belle aventure sensuelle, sexuelle que j’aie connue.
C’est la seule que j’ai senti jouir en moi -Ho le lapsus !-
Une jouissance extrême, son corps qui se soulève, qui nous soulève, pendant que son vagin me serre si fort que je ne peux plus que jouir, me répandre comme une orange pressée. Fabuleuse communion !
Mai -oui il y a un mais- la dame est lesbienne !!!
Lesbienne avérée : elle avait une relation avec une collègue de bureau. Bonjour l’ambiance.
Lesbienne au bout de ses sens. Elle a même fait l’amour a ma femme, devant moi, c’était un super moment. C’est la seule fois où j’ai vu ma femme fontaine.
Mais pourquoi cette relation a-t-elle pu durer aussi longtemps ?
Je le sais maintenant. C’est simple ! Je pense que j’étais simplement le mec qui avait toute la féminité qui pouvait la rassurer.

Je me dis aussi que cette longue relation est un facteur important dans la facilité de mon basculement récent. Comme si j’étais en pays connu. Que je pouvais y aller à fond sans retenue.
Je m’aime en femme. Je me retrouve en elle sans besoin d’excitation physique, je ne fais aucun mouvement. Je plonge en moi simplement. En quelques secondes mon pubis fourmille. Je lui parle elle me comble.
Le voyage peut durer plusieurs heures. Je ne sais pas où il me conduit.
Avant les expériences physiques de ce début de semaine, j’ai déjà exploré mon univers.
Il suffit que j’y pense ou que j’appelle mon autre « HC caresse moi »
C’est parti. Je suis en direct.
Passe tes mains sur mes seins. Ta langue sur mes lèvres, aspire mon clitoris. Mon bassin roule d’avant en arrière, je frotte ma vulve à ta bouche, ta langue tourne à l’entrée de mon vagin. Je mouille de partout. Viens en moi ! Ton gland s’insinue. Je le veux dans ma bouche aussi.
Tu es deux. C’est bon. Je peux me caresser les seins. Mon bassin tressaute, mon vagin t’aspire. Je vous ai tous les deux en moi. Je te suce et ta verge va et vient dans mon vagin. Je déjante, encore plus fort.
Je me remplis de vous. Mais j’ejacule ! Je suis dans ma propre bouche. Je suis en même temps elle et lui plus lui. Tous les trois à la fois. C’est mon diaphragme qui tressaute. Reviens, en moi, encore ça coule à flots, une vraie fontaine. Je suis en train de ruiner le fauteuil.
Ça roule dans mon bas ventre.
STOP.
Alors ? C’est mon vagin ? Ou ma prostate ?
À cet instant je ne sais pas. Il doit manquer une connexion.
Je n’ai pas utilisé de stimulus physique, je n’ai pas eu besoin de me caresser. Je N’ai pas eu d’érection.
Mais quelle puissance de sensations. Je viens de baiser avec vous.