#26852
bzo
Participant

@Jieffe

pour toi, j’ai fait particulièrement attention ce soir,
enfin en tout cas dans la première partie de ma séance,
comment distinguer, comment faire la différence
entre les signaux, les indications de notre cerveau reptilien
et puis ceux de notre moi pensant, de notre intellect,
ceux du néo-cortex comme ils l’appelent dans ton article

ben en fait, c’est tout simple,
tout ce qui vient dans notre tête comme indications,suggestions,
fais ceci, fais cela, je dis bien absolument tout,
cela vient de notre moi pensant et sont donc à négliger, à ne pas suivre

le fait est que le cerveau reptilien n’envoie aucune indication, jamais,
il se loge tout entièrement dans notre spontanéité,
dans nos gestes, nos mouvements, nos caresses, notre maniement du masseur,
sans réfléchir, sans aucune préméditation

alors @Jieffe, jette-toi à l’eau,
le moment est parfait, tu commences à éprouver de sérieux orgasmes, tu es bien lancé désormais,
il est temps de te jeter dans l’eau profonde
là où il y a les sensations fortes et les abysses,
là où l’océan est soudainement à notre portée

comme je l’écris plus haut, ne craint pas d’être maladroit, de te sentir un peu ridicule
à vouloir essayer d’imiter les gestes de l’amour tout seul,
tu seras récompensé

la fluidité de l’action viendra avec l’instinct se renforcant
qui s’exprimera de plus en plus dans tes mouvements, tes gestes, tes caresses
et ton maniement du masseur,
tu improvisant de plus en plus expertement

des extases animales par moments,
je me sentais comme écartelé sur l’autel du plaisir par mon masseur,
c’était délicieusement bestial,
toujours les positions par derrière la plupart du temps,
c’est fou comme cela me plait pour l’instant,
à chaque lente pression comme un bélier enragé qui viendrait pousser avec entêtement de toutes ses forces,
c’est comme si un gong se mettait à vibrer en moi, c’est d’une intensité à vous couper le souffle,
assez primaire mais irrésistible

mais le meilleur était encore à venir

le masseur sorti, j’ai continué aneroless,
en effet depuis hier il m’avait enfin semble trouver, à force de micro-séances
une manière de faire des contractions qui n’étaient juste une tentative grossière d’imiter un masseur
qui certes m’apportaient quelques sensations fortes
mais je sentais bien , que j’atteignais vite les limites du système,
surtout que c’était extrêmement fatiguant et je ne pouvais pas continuer de plus de quelques minutes

hier j’ai enfin trouvé une façon spécifique et consistance de faire des contractions sans masseur,
je vais essayer de décrire le mouvement,
cela part des fesses, je tends les fesses, une sorte de mouvement de tractions
qui fait se soulever le plancher pelvien, mouvement renforcé et conduit par les muscles autour de l’anus, le périnée

résultat, un mouvement qui peut se reproduire sur de beaucoup plus longs délais
puisque là j’ai eu une séance de près d’une heure,
il a été intégré instantanément dans le reste de mon système,
à savoir laisser le féminin et mon cerveau reptilien mener le bal,
ce mouvement puissant, faisait vibrer la prostate, la massant dans tous les sens,
je le sentais bien au plaisir ressenti
et procurant aussi une très puissante sensation de pénétration

pour la première fois j’ai eu un très gros orgasme sans masseur,
une trentaine de secondes, je mordais les draps pour ne pas hurler trop fort
et des larmes me montaient aux yeux tellement la jouissance était forte

si j’avais déjà entrevu les potentialités du aneroless,
là pur la première fois je l’ai vécu
et je dois admettre que oui c’est probablement encore plus puissant
que le massage prostatique avec masseur

ne fusse que le fait qu’on est entièrement libre de ses mouvements,
que la féminité aux commandes chez moi
est libre de bouger comme elle, c’est assez incroable et tout à fait nouveau
parce qu’avec le masseur , on est quand même limité dans ses mouvements,
le masseur impose certaines limitations, on peut pas bouger comme on veut,
par exemple si je décolle mon cul du lit, les mouvements du masseur deviennent de moins en mois efficace

alors que là, aneroless, je pouvais vraiment me mettre comme je voulais,
décoller complètement mon cul, les reins cambrés, une main serrant une fesse
et l’autre pressant un sein,
la tête enfoncé dans l’oreiller,
je pouvais appliquer une lente contraction qui me faisait jouir divinement

bref je viens enfin de faire une percée significative dans l’aneroless aussi,

je vais alterner mes séances,
j’en suis pas encore à vouloir abandonner mon masseur, loin de là,
d’ailleurs cela m’étonnerait que cela arrive jamais,
d’abord je suis encore loin des super O que j’arrive à avoir avec,
des états de transe extatique ou animale qui perdurent de longues minutes
et puis le masseur en lui-même, ce sont des tas de bonnes sensations assez uniques
que sa présence physique, son contact avec la prostate,
ses frottements dans le fondement, le va et vient de son silicone duveteux, ses cognements, apportent