#26869
bzo
Participant

en tout cas après la séance de ce soir,
je puis écrire sans l’ombre d’une hésitation,
que le masseur a encore de beaux jours devant lui dans mon fondement

positions par derrière exclusivement ce soir, sur le ventre donc,
je ne me lasse pas de l’incroyable bestialité du plaisir ainsi éprouvé,
je me sens comme un animal en pleine copulation,
chienne en rut le ventre dans la poussière et la croupe en l’air,
montée, secouée contre le sol par une horde de bâtards qui se relaient
pour venir se vider en deux temps , trois mouvements
dans cet arrière-train qui s’offre à eux inlassablement

à ne pas en douter, j’ai atteint un extrême sur l’échelle ici,
plus physique comme plaisir prostatique que ce que l’on éprouve dans ces positions,
cela ne peut pas exister,
à chaque pression lente, forte et obstinée du masseur,
c’est comme si de la lave en fusion
à partir du point de contact, à partir du point de pression, se répandait dans tout mon corps,
liquéfiant tout sur son passage,
ma chair, mes organes, mes os, dissous, remontant vers ma bouche,
s’évacuant vers l’extérieur en râles, en gémissements, en hurlements

délicieuse agonie, la petite mort rode,
la joyeuse ronde, le carrousel du plaisir tourne en moi à plein régime

j’étais épuisé après une bonne demie heure de tant de jouissance brut de décoffrage,
je n’ai pas continué en aneroless comme je l’avais prévu initialement,
dommage j’aurai bien aimé revivre
ce premier gros orgasme sans masseur
que j’ai vécu avant-hier