#26912
Monplaisir14000
Participant

Bonsoir bzo,

je ne veux pas personnellement associer à tout ce que je viens de décrire
des mots comme « divin », y mêler des spiritualités ou de l’ésotérisme, taoïsme ou autre,
je préfère rester tel quel avec ce que j’ai vécu, ce que j’ai ressenti,
ne pas les enfermer dans des concepts, des tiroirs

Pour éclaircir le sujet, je ne suis ni athée, ni pratiquant bien que comme beaucoup dans notre pays et société, j’ai été baptisé et j’ai suivi un enseignement catholique jusqu’à la communion… Je me suis ensuite détaché de cela pour revenir bien des années plus tard avec une vision bien large, plus universelle des croyances, des ressentis en me posant des questions sur le sens de la vie, de notre présence sur cette Terre, dans cet Univers par et au delà des fréquences, des atomes, des poussières dont nous sommes constitués. Ainsi pour revenir à ta remarque ci-dessus, je ne veux surtout pas mettre tes ou nos expériences dans ce domaine dans des boites ou des concepts mais juste signifier qu’elles viennent et viendront surement en résonance avec les uns ou les autres de ces concepts ou de ces disciplines. J’ai constaté ces 10-15 dernières années que peu importe par quel bout ou quelle discipline on aborde la vie, la mort, la santé, la médecine, l’alimentation, je finis souvent par retrouver des points communs, une trame, une cohérence qui semblent rejoindre des Vérités universelles quelle que soit la culture, le langue, la couleur des humains qui les pratiquent. C’est la raison pour laquelle, je pense que nous devons restés ouverts un maximum à tout de manière curieuse en restant critique, avec discernement pour commencer à effleurer la surfaces de ces Vérités.

Je suis désolé, j’espère ne pas dénaturer ton “journal” car je suis loin de la prostate 🙂 et je me surprends moi-même à écrire tout cela ici. Etrange inspiration que ce site et ses visiteurs.

tu vas sentir un sexe de femme entre tes jambes, sensation incroyable,
espèce de cavité humide, souple, tout en sinuosités charnues et en nerfs
et qui semble connectée au moteur de l’océan au niveau de la puissance des sensations
dans les dernières phases de la métamorphose,
tu vas sentir un corps de femme entièrement à la place du tien durant la séance,
tu vas sentir des frissons tout d’un coup courir à travers tes membres, t’envahir,

Je partage en grande partie ce que tu écris, même si je n’ai pas encore la chance d’avoir ressenti tout ce que tu as expérimenté… Cette sensation de vivre quelque chose de féminin, je l’ai ressenti lors de mes premiers jets de fontaine et de mes premiers violents orgasmes “spasmiques” (ça ce dit?) tellement le lien était évident avec ce que j’avais vu des orgasmes du point G. Oui, à ce moment, je suis dit : “si j’étais une femme” ou mieux “quand j’étais une femme” ça devait ressemblait à cela… Mais avec le temps, et c’est là que je te te soumets ma réflexion, je me suis approprié ces sensations en tant qu’homme ou homme avec un champ de conscience et ressentis élargi. Ce ne fait pas de nous des “super héros”. Doit-on obligatoirement vouloir rattacher cela à une métamorphose de notre corps d’homme vers un corps féminin ? à moins d’en avoir l’intime désir. Ces ressentis ne sont-ils pas plutôt des sens trop longtemps profondément enfouis en nous pour toutes raisons imaginables d’éducation, d’évolution de notre cerveau, de nos modes de vie au cours des millénaires… Nous les avons certainement toujours eu mais les avons mis de côté au profit d’autres centres d’intérêts comme nous avons oublié de regarder le voute céleste pour comprendre d’où nous venons, où nous allons (cf. Astronomie/Astrologie), comme dans quelques années avec les GPS et les GoogleMaps, nous aurons totalement perdu le sens de l’orientation, avec les tablettes et les claviers, nos mains ne seront plus écrire avec un stylo…

Je m’écarte à nouveau du sujet. Pour moi, ce que nous expérimentons lors que nos voyages orgasmiques ne serait pas la transformation de notre sexe d’homme en sexe féminin mais plutôt le plein potentiel de notre corps, qui, qu’il soit masculin ou féminin possède finalement anatomiquement peut-être plus de points communs au niveau de ses tissus, de ces organes dans toute cette zone génitale et périgénitale que nous ne le pensons. La science et la médecine sont d’ailleurs un peu mises à mal ces dernières années car obligées d’accélérer le pas de leurs expériences pour répondre à nos questionnements sur ces sujets. Si vous voulez, je pourrais vous mettre en copie ce que j’ai trouvé hier à propos des dernières publications d’un chercheur anglais en décembre 2017 sur le plaisir prostatique et l’apprentissage qu’en tire le cerveau. Certains d’entre vous se reconnaitront car vous expérimentez sans le savoir exactement en parallèle ce que sont en train d’essayer de démontrer ces chercheurs 😉

Je finirai par cela ce soir et là @bzo, je sais que tu seras peut-être critique 😉 Je suis convaincu qu’à l’intérieur de nos corps d’hommes et de femmes, nous sommes des âmes donc sans sexe et nues sans capacités à ressentir tout ce qui est terrestre et sensoriel … Nous empruntons justement ces habits terrestres sexués d’homme ou de femme (dans lesquels nous sommes d’ailleurs plus ou moins à l’étroit car plus ou moins bien ajustés et cela peut aussi expliquer certaines choses) pour venir vivre des expériences ici bas, pour apprendre, pour ressentir le matériel, pour évoluer, enfin pour ceux qui veulent 😉
Attention, pour moi la notion d’âme n’a pas de connotation religieuse, mais plutôt universelle…
Le grand couturier qui a conçus ces habits les a donc fait assez similaires avec les mêmes tissus en essayant juste de différencier quelque peu ceux des hommes et des femmes mais en laissant une multitude de possibilités entre le 100% homme et le 100% femme qui n’existent pas à mon avis… Aussi quand nos âmes, douées de grandes capacités, empruntent ces habits pour faire leur voyage sur Terre, elle ont le choix de les porter juste comme un poncho sur le dos ou de se les approprier et les habiter (habit/habiter) entièrement pour ressentir pleinement la vie au travers.
Tu peux, je peux, nous pouvons donc expérimenter ces sensations universelles que nous croyons réservées aux femmes sans pour autant devoir métamorphoser notre corps.
Voilà, voilà… je crois que c’est assez pour ce soir… Je ne suis pas prêt d’aller reprendre mes explorations si j’écris aussi longuement 😉