#26969
Ch313
Participant

Je rêve :
Je suis étendu sur la plage, un copain (de lycée, mais maintenant nous sommes adultes) est debout devant moi. Il me regarde d’une façon bizarre.
Il se précipite sur moi, il m’embrasse le genou puis l’intérieur de ma cuisse.
Je le prends dans mes bras l’attirant très fort. Je le serre très fort pour l’embrasser. Je me réveille à ce moment-là.
Je me rendors.
Deux heures trente, je me réveille, j’ai des spasmes dans le bassin. À moins que ce soit les spasmes qui me réveillent.
Ma respiration est haletante, je tremble de partout. Je pleure, j’ai envie de crier. Non ! Je dois pas réveiller ma compagne !
Je contrôle, je m’aperçois que je suis en érection. J’ai peur de ‘ruiner’ le lit
Je me lève, je prends ma tablette, j’écris mais je suis toujours en ‘prise’, en transe,
Ho Oui ! J’ai envie de faire l’amour. Des larmes coulent. Mes jambes tremblent, mon bassin me secoue.
Puis accalmie, mon bassin oscille doucement, ma respiration s’est ralentie entrecoupée de longs gémissements. Je me détends, je caresse mes tétons.
Mon bassin reprend son rythme, en de longues oscillations il prend le contrôle de moi. Je n’arrête pas de gémir sous ses impulsions.
Je pleure encore, je n’ai jamais senti mon intimité comme ça, je suis complètement trempée entre mes cuisses.
Fabuleuse envolée, mon corps en total abandon en mon pouvoir.
C’est la dissociation ? J’écris, je baise, je suis baisée tout à la fois.
Et ça dure ; il est déjà quatre heures et demi, je suis un peu ‘redescendue’ mais mes jambes tremblent encore.
Quelques tendres câlins sur mes seins et je repars dans la volupté à offrir ma chatte à ses doigts. Viens ! Mon chéri baises-moi !
Je suis en érection, et je me sens en moiE. Dans de longues oscillations, je sens mon ventre m’aspirer. Il glisse voluptueusement entre mes lèvres, mon vagin l’accompagne mon bassin, mes cuisses fourmillent de toutes parts. Je suis repartie dans des contractions périnéales frénétiques
. . . Là je ne sais plus.
Je suis perdue. Il est presque six heures.
Je prends mon petit déjeuner. Je suis étrangement bien. Je suis chaude de la tête aux pieds, je me sens tellement femme. Je déguste mes sensations.
C’est ici et maintenant, en direct. Je n’ai rien fait, juste joué avec mon subconscient ?
Mais mon intimité sexuelle ‘vibre’ encore. Mon anus, mon rectum ? me picotent. J’ai encore le temps d’essayer un petit massage.
Je vais chercher l’Anéros, je m’installe. Pas trente seconde que des spasmes me secouent déjà. Des contractions font le va et vient. Je jouis déjà, je tressaute, j’en perds ma respiration. Quelle vague de chaleur m’inonde. Mes jambes tremblent, mes pieds s’entrechoquent, mon diaphragme ‘bombarde’ mon ventre. Je caresse mes tétons, mes seins sont bouillants, brûlants.
Je m’abandonne dans les spasmes et les gémissements. Les contractions vont et viennent, me massent l’intérieur, des vagues de chaleur fulgurantes me traversent comme des éclairs.
Puis tout à coup un calme, je me sens comme en lévitation. La chaleur inonde mes jambes et ma tête. De lentes contractions vont et viennent dans mon antre brûlante. Le masseur me ‘picote’. Une ‘langue’ chaude remonte mon périnée. Mon bassin tremble partout. Chaque ‘phase’ m’explose plusieurs dizaines de secondes , cela doit même parfois dépasser la minute.
Reprise aux picotements, aux va-et-vient, c’est bon. Ho oui ! Encore !
Et à chaque ‘calme’ ça repart. . . Encore et encore. Dix fois, peut-être plus.
Sept heures passées : il faut arrêter ce chambardement, cette insomnie d’amour. Ça va craindre pour la journée !
Débriefing ultra court : Putain mes seins ! Quelle découverte. . .
Quant à ma prostate. . . Ce sera pour plus tard.
À plus mes Amours. ( vraiment les miennes intérieures )