#27008
bzo
Participant

maintenant que ces contractions sont ressenties dans son sexe,
les choses ont vraiment décollées,
assis dans mon fauteuil face à mon ordinateur,
je multiplie les micro-séances, l’intensité est extraordinaire,
la liberté de mouvements et de posture totale,
en quelques instants j’en peux plus et je gémis, je râle

on peut appliquer ces contractions vraiment dans n’importe quelle position,
je découvre un tout nouveau territoire là,
j’en ai déjà parlé dans Prostatomane II, cette totale liberté des mouvements et des postures
grâce à l’inexistence des limitations du à la perte de l’efficacité du masseur
dans certaines positions, à cause de certains mouvements

je me laisse aller à mes fantaisies sexuelles sans aucune restriction
dans ma façon de me mettre, ma façon de bouger, d’être en action,
une fluidité complète des mouvements qui suivent aveuglement le désir, le plaisir,
la sensation de se faire l’amour est encore plus forte qu’avec masseur,
tellement réaliste

c’est une nouvelle façon de conduire ma séance,
morcelée, je l’arrête quelques minutes, je regarde quelque chose sur internet,
je rêvasse, je me lève, vais me préparer un thé, je me rassois,
puis je m’y remets, je ferme les yeux, je saisis un sein,
j’écarte lentement mes fesses, je cambre les reins
et déjà je sens la lente pénétration, je me mets à gémir,
je change un peu de position dans mon fauteuil
je passe une jambe au-dessus de l’accoudoir, j’avance mon bassin,
un coup de boutoir vient me repousser et clouer au fauteuil,
un râle rauque en continu comme directement de mes entrailles
tandis que je malaxe sans relâche mes seins
et que mon bassin maintenant a un petit mouvement rythmique d’avant en arrière
pour mieux sentir chaque contraction s’enfoncer en moi

j’arrête de nouveau après quelques minutes,
je vais jeter un coup d’œil par la fenêtre, la fraîcheur de la nuit m’accueille,
là penché à la fenêtre j’ai envie de reprendre, de me reprendre contre l’appui,
cela ne dure quelque quelques secondes
mais j’ai l’impression de sentir une continuité avec tous les autres fragments

ha, ha, j’ai plein de liquide qui me coule par le sexe,
il est comme un robinet qui fuit,
pas besoin de plombier, cela s’arrêtera tout seul