#27086
Jieffe
Participant

En ce qui me concerne, c’est assez simple. Ma pratique étant toujours secrète, il me faut rester le plus discret possible.

Passage aux toilettes entre deux et trois heures avant pour bien m’assurer que mon rectum est vide. J’ai un souci à ce niveau là, la gestion de mon gros colon. Si je vais aux toilettes entre la fin de matinée et la fin d’après midi, plus rien ne sort en fin de journée, mais il y a de grandes chances que mon rectum ne soit pas complètement vide. Alors je m’astreint à attendre la fin d’après midi ou le début de soirée, mais c’est quelque fois compliqué dans la journée, pas très confortable. Je n’ai pas encore trouvé de solution à ce problème. J’ai bien lu ton point 1 Andraneros, qui ressemble à ce que je viens d’écrire. J’ai une vie régulière et une alimentation aussi équilibrée que possible, mais ça ne change rien.

Un peu avant la séance, disons une dizaine de minutes, introduction d’un petit suppositoire de beurre de karité (et oui, je ne pense pas avoir évoqué ce point, mais j’en ai trouvé et je n’utilise plus que ça 🙂 ) que je laisse fondre tranquillement

Et là c’est le chantier: préparation de l’après séance avec une poche plastique type sac de congélation pour récupérer le masseur, une poche poubelle que je mets sur les draps pour la lubrification de l’aneros et la récupération de papier essuie tout, lingette…etc. Cette poche me sert également à prévenir tout accident lors du retrait, je le place sous mes fesses.

J’enfle un gant type gant chirurgical, je n’aime pas trop avoir du lubrifiant plein les doigts, et ça me garantit une certaine hygiène pour la lubrification de mon anus (je prends mes douches le matin!). Je mets une noix de lubrifiant sur l’un de mes doigts gantés, je m’en enduis l’anus jusqu’aux sphincter interne.

J’enduis le masseur de lubrifiant et c’est parti…

Dans l’avenir, j’ai l’intention d’en faire plus une fête. Certainement une bonne petite douche, très certainement un petit lavement, et un bon moment d’érotisation, de caresses, faire monter la tension. Ça ne semble pas aussi nécessaire aujourd’hui que ça pouvait l’être au début, mais ça me fait envie. Je verrai lorsque cela sera possible.

Quoi qu’il en soit, j’ai en permanence sous mon lit: du lubrifiant, un rouleau d’essuie tout, des poches congélation et des poches poubelles, et mon plus gros problème, qui m’occupe depuis le réveil, est la gestion de mon transit qui est assez actif.

Voilà pour mon organisation qui pourrait changer dans l’avenir.