allons bon, je vais devoir bientôt partir chez le coiffeur,
j’ai rendez-vous à 15h30, c’est au diable vauvert,
je me demande pourquoi je vais si loin
alors que j’ai un coiffeur au coin de ma rue qui a l’air bien sympa
j’étais encore nu comme un ver dans mon fauteuil,
à me caresser rêveusement le sein et appliquer quelques contractions sporadiquement,
le fond du cerveau encore plein d’étoiles et de picotements
de l’orgasme il y a à peine quelques secondes
quand j’ai senti le mustang dans mon sang se dresser à nouveau,
d’un revers de la main j’ai balayé tout ce qu’il y avait sur mon bureau (pas l’écran d’ordinateur tout de même),
me suis debout contre, abaissé tout le haut du corps sur la surface de bois
et ainsi la croupe bien offerte,
entamé des mouvements lents et vigoureux de pénétration,
tout le bureau en était secoué,
je n’y résistai pas longtemps, je gémissais de plus en plus fort, j’avais orgasme sur orgasme,
si j’avais pu, je me serai attraper les cheveux aussi et tirer bien fort dessus
comme on attrape la crinière d’une jument pendant qu’on la chevauche
bon, temps d’aller chez le coiffeur