#27241
bzo
Participant

le moteur est fumant, le moteur est tremblant,
les chevaux sont lâchés, j’ai orgasme sur orgasme,
tout l’intérieur comme un volcan,
ramoné par un piston diabolique,
je hurle, les voisins vont finir par me faire des remarques
mais je m’en fous, mes entrailles sont incandescentes,
j’ai des braises dans le cerveau

ce n’est pas possible, il y a aucun scénario qui avait prévu cela,
je suis au milieu de la pièce à même le sol à me tordre de plaisir
comme labouré par une solide bite,
je me lève, je vais plus loin, je me penche en avant sur mon bureau,
le voilà de nouveau enfoncé jusqu’à la garde en moi, allant et venant,
je hurle à nouveau et je pleure

je vais dans la cuisine, j’avais mis de l’eau à chauffer pour un thé,
le temps de verser dans la tasse l’eau bouillante
et suis déjà plaqué contre l’armoire,
je suis de nouveau avec cette hampe brûlante en moi qui me ramone divinement,
tout lentement pour l’instant, avec des légers allers-retour, quasiment du sur place,
déguster chaque millimètre de peau en bien la frottant, en bien la raclant,
plusieurs fois, comme pour un nettoyage consciencieux de la surface,
avant de repartir, avant de continuer, de remonter plus loin dans mes entrailles,
je hurle et je pleure à nouveau

je vais dans la salle de bain,
je m’assois sur la machine à laver qui tourne,
des délicieuses vibrations en plus, je les sens monter lentement par mes fesses,
se répandent, mes couilles se mettent à trembler un peu,
j’écarte bien mes jambes avec mes bras,
je me sens complètement ouvert, je vois une partie de mon corps dans le miroir,
bon dieu que c’est excitant,
j’ai l’air de m’offrir, j’ai les yeux brûlant de désir, comme fous,
je bouge la croupe lentement comme pour inviter le premier dard venu,
mon impudeur m’excite encore plus,
ça y est, elle est de nouveau là entre mes jambes,
cette bite divine, avec sa courbure prononcée qui s’enfonce en moi d’un coup sec,
je commence à bouger le bassin, à le tordre plutôt dans tous les sens
pour sentir encore plus cette raideur superbe qui s’avance dans ma chair
qui m’arrache des gémissements et des râles de plus en plus prononcés

je retourne vers mon bureau, m’assois dans mon fauteuil,
écarte à nouveau les jambes autant que je peux
et serre mes seins à deux mains, les malaxe, les brutalise
puis je le laisse à nouveau s’enfoncer en moi,
mon entrejambe et mes poils sont tout mouillés,
mon sexe n’arrête pas de goutter, cela a fini par se répandre partout,
va et vient rapide, décidé, je reste sans bouger, serrant fort mes seins
tout entièrement immobilisé sinon pour le ramonage entre mes jambes
jusqu’à ce qu’une chaleur d’enfer m’envahisse tout d’un coup
et que mes yeux se voilent complètement,
suis resté ainsi immobile pendant une bonne trentaine de secondes
comme dans les vaps

bon , vais aller boire ce thé tout de même,
il est en train de se refroidir