#27388
bzo
Participant

vers midi, après être revenu des courses, me suis rendu compte
que j’avais encore 45 minutes avant de devoir partir chez le dentiste,
tiens donc qu’est-ce que je vais faire en attendant?
Voyons voir qu’est-ce que je pourrais bien faire?
Ah mais oui, excellente idée, en deux temps, trois mouvements j’étais déjà à poil au lit

bon il s’est passé trop d’heures depuis,
je n’ai plus le souvenir suffisamment exact des détails que pour en faire un récit,
deux points cependant:

d’abord c’est une séance à marquer d’une pierre blanche dans mon parcours aneroless,
en effet si jusqu’ici j’ai déjà eu des tas d’orgasmes, ainsi que même deux ou trois super O,
c’est la première fois que je suis véritablement entré dans cette zone d’excitation,
de qualité d’excitation où les orgasmes puissants s’enchaînent les uns après les autres,
pendant un bon quart d’heure, cela n’a pas arrêté,
d’une puissance incomparable, sur le dos, sur le flanc, me caressant sans cesse,
j’ai joui comme je n’ai jamais joui jusqu’ici,
même s’il n’y a pas eu de super O
mais je devais partir chez le dentiste, cela a écourté les ébats

une petite séquence tout de même, un extrait car c’est un moment qui m’avait marqué,
j’étais sur le flanc, une jambe levée et la main posée mollement sur ma fesse,
tandis qu’à grands coups de rein, je me pénétrais, je me fouillais, j’escaladais les parois

cette main posée nonchalamment sur la fesse,
un doigt venant s’égarer sur la raie de temps à autre, semblait tel un buvard, tel un capteur,
s’imbiber de tout le rythme et de tous les mouvements à l’oeuvre dans le bassin,
c’était fascinant car en même temps je ressentais la houle puissante,
la houle irrésistible du mâle coup de rein mobilisant tous les muscles de la région
mais aussi en même temps je sentais mes hanches ouvertes, mes hanches offertes,
mes hanches ductiles, mes hanches élastiques,
mes hanches cédant sous le coup de rein puis retournant à leur place
telles des algues dans le courant, allant et venant, dansant gracieusement

c’était sidérant comme sensation, cette dualité à l’oeuvre,
si précisément captée par cette main posée