#27675
bzo
Participant

j’ai continué toute la journée , bien sûr,
les jours fériés sont faits pour cela aussi, n’est-ce pas?
se donner du plaisir, après tout cette chair ne durera pas,
un jour elle retournera à la terre,
alors autant en profiter pendant qu’elle est encore sur mon dos

l’après-midi une longue promenade et quelques courses
mais le matin, mais le matin…
enfin j’ai déjà compté plus haut en détail ma belle séance matinale
qui s’est terminée par un super O à même le sol de la cuisine

l’après-midi , j’ai été me promener comme on sort le chien,
sauf que je n’ai pas reniflé tout le long du chemin des traces d’urine canine, ni des déjections,
ni fait mes besoins que d’autres bestioles renifleront à leur tour avec curiosité et gourmandise,
je suis donc revenu et repris dans un rythme régulier mes micro-séances

trente secondes par-ci, quelques minutes par-là,
l’intensité étant là derrière la première seconde,
en trente il y a moyen déjà d’avoir le feu dans ses veines, haletant et gémissant

ai continué ainsi toute la soirée,
c’est si bon, si incroyable d’interrompre tout d’un coup le visionnage d’un film
et hop, quelques instants après, je suis déjà la tête renversée en arrière,
les jambes écartées, râlant de plaisir, me caressant les hanches, les fesses,
dardant avec dextérité quelques contractions me remontant dans le fondement
et c’est comme une mèche courte allumée, qui fonce vers le baril de poudre,
en quelques instants ce ne seront plus que feu d’artifice après feu d’artifice
dans mon sang, dans ma chair

bon dieu, l’aneroless, c’est le luxe absolu pour un homme,
bien sûr il n’y a pas le corps de la femme,
ce corps merveilleux, cette architecture divine, ces seins, ces courbes
et puis cette peau, ce sexe,
l’autre manque, l’altérité, mais pour ce qui est du plaisir en soi, je suis servi,
j’en ai plus que ce que j’en aurai jamais espéré,
si on m’avait dit il y a quelques années
qu’un jour je jouirai comme cela, aurait autant de plaisir rien qu’à me caresser,
que la prostate deviendrait mon chamane avec son tambour magique
m’ouvrant les portes vers un autre monde, vers un autre royaume,
une sexualité complètement débridée, sans limites

belle journée de l’ascension, j’ai grimpé aux rideaux, je me suis envoyé au septième ciel,
bref j’ai connu pas mal de moments en altitude aujourd’hui

je vous embrasse tous bien fort,
mes amis explorateurs en quête de sensations fortes, en quête de sensations exquises,
en quête d’absolu, en quête de la bestialité extraordinaire qui dort au fond de vos veines,
en quête de la féminité à éveiller pour vivre des extases délicieuses,
en quête de communion païenne, en quête de fête échevelée de la chair