#27785
logansan
Participant

Bonjour @Nydor et @Andraneros, et les autres qui suivent ce sujet

Je me reconnais dans ce que tu écris @Nydor. En pleine nuit, petit matin, plus que le soir (la fatigue de la journée et la mise en condition de relaxation plus longue…) ma prostate me lance toute seule dans un état de plaisir. Depuis la lecture du post de @Vanyfraiz, je ne pense plus “orgasme” mais “plaisir” d’ailleurs. Je trouve ce terme plus approprié à ce que je vis, l’orgasme, je l’entend comme une finalité, le plaisir que je vis me donne plutôt l’impression de n’avoir jamais de fin, que des pauses, puis ça repart de plus belle…
Je ne décrirais pas les sensations ressenties, @Nydor le fait très bien, par contre, dans la façon d’y arriver, la méthode diffère un peu :
– Des contractions périnéales, ou plutôt comme si c’était les muscles tout autour de la prostate, la prostate elle-même, c’est bizarre. Je ressens une circulation sanguine pulsante dans cette zone. Pas forcément besoin de fantasmer pour avoir du plaisir diffus, mais pour monter en puissance…
– je me tripote les tétons, bam, c’est parti
– en pensée, j’équipe ma femme, ou une autre (chut !) d’un feeldoe, et je lui offre mes fesses
– les yeux ouverts/fermés (dédicace @bzo)
– des mouvements de bassins, je (me) fais l’amour sur une bite imaginée que je crois ressentir
– et si je peux me lâcher du points de vue gémissements, voix, alors là… je crève le plafond
le plus dur et de réussir à respirer parfois, mais une pause, et cela repart.

J’ai souvent une érection pendant ces moments, plus qu’avec un masseur. Et je ressens le fluide prostatique qui passe par mon urètre par moment, comme lors d’une éjaculation, mais moins fort et juste ‘une goutte’.
Les contractions musculaires involontaires que je ressens dans mon bassins sont diverses : sphincter ouvert/fermé à différents degrés, sensations de poussées (comme aux toilettes, souvent accompagnées de pets, dsl) et périnée saccadé.
J’ai essayé une position sur le dos, ma bite en semi-érection, coincée entre mes jambes, cela force sur le périnée, c’est intéressant ! D’autant quand je me regarde, il me manque quelque chose hahaha.
Le plaisir me rempli, me domine, j’ai souvent du mal à m’arrêter, mais je ne peux pas passer la journée au lit !
Alors soit je stocke l’énergie dans mon nombril après l’avoir fait tournée dans ma tête, soit je termine par une éjaculation en général très forte et puissante.
Mais l’anerossless ne fonctionne qu’avec une musculature pelvienne assez importante je pense. J’ai vraiment l’impression d’enserrer ma prostate pendant mes contractions. Cette barre ressentie, cette sensation de pénétration ?

Bon cheminement