#29146
Jieffe
Participant

Bonjour Andraneros,

Tu me donnes l’impression, @jieffe, que le temps que tu consacres à tes sessions de massage prostatique fait désormais partie de ta vie quotidienne

Et bien en fait, c’est toute la difficulté. En réalité je pense beaucoup au massage prostatique tout au long de mes journées, que je pratique ou non. Mon plus cher désir aujourd’hui est de l’envisager comme quelque chose d’incontournable de mes journées. Ce matin plus que jamais, c’était une évidence pour moi: ce soir et les soirs qui suivront feront l’objet d’une séance. Comme la prière du soir ou l’heure de sport en salle, mais il me faut reconnaître que cette certitude s’estompe avec les tracas quotidiens. Même si cette sensation est toujours présente à l’heure ou j’écris ces lignes, elle est moins prégnante que ce matin. Peut-être reviendra t’elle à son intensité en fin de journée, quand la houle se sera calmée.
Mais oui c’est mon plus grand désir, ça n’est pas encore totalement le cas mais je pense que ça en prend le chemin.
C’est tellement bon, ça apaise tellement, ça fait voir les choses du bon côté. On se sent tellement bien le lendemain matin, et ça fait oublier les tracas quotidiens justement.
Mais pour cela, il faut l’étincelle qui vaincra la fatigue de fin de journée, et j’ai déjà expliqué mes problèmes de libido, qui tend à revenir petit à petit.
Ce qui est très clair, c’est que ce matin en rangeant mon fatras de la veille, j’étais fermement décidé à recommencer ce soir. Et je le suis toujours, c’est juste un peu moins pressant. Normal me diras tu? Et tu aurais raison!

Je suis très heureux de lire qu’après une interruption aussi longue tu aies pu engager ta session aussi naturellement, apparemment sans appréhension, sans tension, sans hésitation.

Ah ben j’en avais bien envie. Ce n’était pas la première fois depuis 15 jours que j’en avais envie, mais c’était la première fois que l’envie était aussi forte. Je n’avais effectivement pas d’appréhension, même si je souhaitais tout de même ressentir du plaisir à minima. Mais je l’ai envisagée comme une séance de relaxation, de détente et de bien être après une journée de travail.
Tu as tout à fait raison, et j’en prends conscience maintenant (merci 👍), je n’avais aucune appréhension, alors que ça n’a pas toujours été le cas. Diable, je n’avais pas noté ce détail.
Ni tension ni hésitation non plus. Mais pas d’appréhension. C’est très important, parce que l’appréhension m’a empêché quelque fois de pratiquer, ne le nions pas. La peur de ne rien ressentir, la peur que ça ne fonctionne pas… alors on préfère remettre au lendemain. Mais le lendemain, c’est pareil!!!
Merci Andraneros d’avoir mis le doigt dessus.

Tu n’as plus besoin de compter, de décomposer, de forcer ton attention. Tu ne cherches plus ta prostate. Tu ne te poses plus de questions sur les contractions volontaires ou involontaires. Les pièces du puzzle sont en place, les gestes et les positions sont devenus naturels

Sans forcer mon attention, je reste polarisé sur ma prostate et/ ou mon bas ventre. Mais oui, tout est beaucoup plus naturel. L’étape relaxation par exemple a été complètement squizzée. Je ne dis pas que c’est bien, ni que c’est ce qu’il faut faire, mais c’est comme ça, je n’ai rien géré du tout 🙂

Tu n’as donc pas besoin de ralentir la montée de ton plaisir.

En fait ce n’était pas un besoin, mais un désir, comme pour laisser monter doucement la tension. J’aime quand ce genre de plaisir arrive doucement. Et il a déboulé à une telle allure, à peine Lulu installé et une première inspiration, le voilà qui pointe le bout de sa queue fourchue. J’ai voulu le calmer un peu pour profiter calmement de sa venue. Mais tu as raison, j’aurais d le laisser monter, et peut-être que cette arrivée que j’ai jugé tonitruante était une façon polie d’annoncer la tornade qui se préparait. Comme je l’ai calmé, il a baissé d’un cran les curseurs, et de tornade nous sommes passé à tempête de bords de côte. Certainement.
Je vais suivre tes conseils dans l’avenir, conseils que je connais déjà pourtant…. Mais je ne regrette pas, c’était excellent et comme tu le dis:

Cette jouissance se renouvelle à volonté, si ce n’est pas immédiatement ce sera lors de la session suivante

Je me suis aussi doucement caressé ma petite noix d’amour (faut bien commencer) avec quelques contractions, doucement, très doucement, délicatement, subtilement… c’était divin.

On va te demander plus de détails

Oh ben tout simplement, avec des contractions anales, rectales et périnéales certainement. J’appliquais doucement le masseur contre ma prostate et le bougeait doucement de façon à ce qu’il la chatouille. Rien de révolutionnaire, mais une recette qui fonctionne plutôt bien.

As-tu déjà cassé les butées de tes Aneros sous la seule force de tes spincters ?

C’était surtout une boutade Andraneros, parce que je ne contrôle pas mes sphincters dans les phases orgasmiques. Je les laisse gérer les contractions, en fréquence et en intensité, et par moment, ils pressent vraiment fort. Je ne ressens pas de douleur, mais je sens bien que la pression est forte. Non, je ne crains pas que mes sphincters soient si puissants qu’ils parviennent à rompre un Aneros. Ce serait une première!!! 🙂

tu as maintenant une belle maîtrise
Quel bonheur de te lire

Merci Andraneros, tes messages sont toujours constructifs, rassurants, et font plaisir à lire. Je l’ai déjà dit par le passé, mais j’ai envie de le répéter, merci Andraneros de ta présence, de tes conseils et de ta bienveillance. Tu mets souvent le doigt sur des points qui auraient pu nous échapper, et qui nous font avancer.

Je te souhaite une excellent journée. À bientôt.