@Epicure
Bonjour,
Pour répondre à ta réflexion : « Pour moi l’anerosless n’est pas une fin en soi. Ce qui est une fin en soi, c’est le plaisir, l’orgasme. »
Pour moi, l’orgasme prostatique (ou périnéal) est une fin en soi, l’Aneros, ou l’Anerosless, un moyen de l’atteindre, mais dans la mesure où je peux me passer d’Aneros, l’Anerosless devient le moyen privilégié d’y parvenir. Quoi de mieux que d’avoir un orgasme prostatique – et de tout le corps – par le simple fait de se faire l’amour à soi-même, sans contrainte de préparation, sans pénétration, sans massage direct, par un pénis, une main ou un objet. C’est cela, aussi, qui est jouissif. Savoir qu’à tout moment, n’importe où, je peux me donner du plaisir par le simple fait d’activer des muscles et d’avoir l’état mental adéquat.
Aujourd’hui, l’Anerosless m’apporte des orgasmes incomparables sans doute aussi parce que je la perçois comme une pratique libre et naturelle.