Je m’entends râler, des bons râles de mâle bien viril, mais hier soir sont apparus des gémissements, comme des plaintes, longs et pleurnichants… Il va me falloir prendre l’habitude, parce que c’est assez déconcertant de s’entendre de la sorte.
comme j’aime lire des choses comme cela sous ta plume,
tu vas t’y habituer , tu n’as encore rien entendu,
le seul avantage, c’est que les voisins vont croire que tu as une femme avec toi
et que tu la fais extraordinairement jouir pour qu’elle hurle et gémisse comme cela
plus sérieusement, c’est vrai que nos gémissements, nos râles, nos hurlements prennent des accents étonnement féminins durant le plaisir prostatique à partir d’un certain moment,
chez moi constamment mais cela tu t’en doutes sûrement
cela va s’accentuer de plus en plus, que cela ne te gêne pas,
laisse-toi bien aller, lâche tout, aucune honte à avoir,
c’est un très bon signe, tu progresses dans la bonne direction,
je suis très excité pour toi, tu vas vivre une aventure merveilleuse,
tu l’as déjà entamée bien sûr
mais avec le féminin qui s’éveille,
cela va prendre encore une autre dimension
certains orgasmes sont venus doucement, sont montés plus lentement que d’habitude, et peut-être plus diffus dans tout le corps, ou tout au moins dans une plus grande partie du corps qu’à l’accoutumée.
là aussi ce n’est qu’un début, tu vas passer par tout le bestiaire des orgasmes,
cela n’arrête jamais de changer, d’évoluer
c’est très bien, tu progresses superbement, à ton rythme,
les orgasmes qui se diffusent peu à peu à tout le corps,
c’est une excellente étape
un jour, la moindre sensation se répand rapidement à tout le corps, dès la première seconde,
pas seulement les orgasmes,
en tout cas chez moi, c’est comme cela
Qu’est ce que l’on se sent bien après des séances pareilles…
tu vois maintenant que je n’ai pas exagéré avec certains de mes propos
sur le bien-être qu’on peut ressentir immédiatement après
mais aussi plus tard, le lendemainmoins me ruer, les laisser s’ébattre tranquillement,
Peut-être. C’est comme manger un met délicieux en l’avalant à grosses bouchées à peine mâcher plutôt que de le déguster. En terme de plaisir, et en particulier de plaisir sexuel, je n’aime rien tant que de faire monter la sauce, doucement, tranquillement, que ce soit pour moi ou pour ma partenaire. J’ai l’impression que l’explosion en est d’autant plus violente.
quand on découvre tout cela, on a tendance à se ruer,
on a tendance à en faire trop,
après on s’habitue, on commence à prendre son temps,
cela ne va pas s’envoler, c’est en nous, c’est notre trésor,
personne d’autre y a accès, peut nous le subtiliser,
alors autant déguster lentement, lentement, lentement,
que chaque sensation soit apprécié à 100% de ce qu’elle peut nous donnerpour moi l’aneroless au lit, c’est encore nouveau aussi,
avec ce que j’appelle mes deux pôles masculin et féminin constamment activés,
le jeu avec mes cuisses, tout cela demande de l’adaptation technique,
j’ai encore tendance à me ruer pour l’instant
mais c’est en train de passer en phase dégustation calme, systématique peu à peuce qui n’empêche qu’il est bon de temps à autre de se ruer,
de se lâcher, et de se baiser comme un animal sauvage sans aucun frein, sans aucun retenue,
le gros bombardement à grands coups de boutoir