J’ai déjà lu plusieurs fois le traité sur l’aneros, j’essaie de respecter au mieux chaque point mais difficile d’atteindre le nirvana.
sois irrespectueux, il ne faut pas respecter à la lettre, il faut diverger,
les traités sont là pour qu’on prenne connaissance des grandes principes, des grandes lignes
et après on prend les chemins de traverse
J’ai l’impression de prendre plus de plaisir avec des sex toys en faisant des va et viens qui vienne buter sur la prostate, j’éprouve plus de satisfaction et d’excitation avec la pratique un peu plus brutal et hard d’un sex toys qui fait des vas et viens, rentre et sort
comme à beaucoup d’autres, je te recommande de prendre plutôt, l’aneros Device si tu es habitué à gros
, si tu es habitué à très gros le Nexus G-rider (à utiliser plutôt sans les vibrations bien que quelqu’un par ici, @envole pour ne pas la nommer éprouve beaucoup de plaisir avec les vibrations),
si tu es habitué à moins gros, alors un aneros junior
je te recommande ceux-là car tu me parles de va et vient et du plaisir intense que tu prends ainsi à venir câliner ta prostate, ils sont mieux adaptés à ce type de mouvements,
moi c’est toujours ainsi que j’ai procédé aussi, par va et vient
ou par pression constante entre deux va et vient
Une petite envie d’uriner est normale il me semble, mais dans mon cas ça me bloque le plaisir, j’ai donc été satisfaire cette envie et uriner
un, peu curieux, il serait tentant de répondre que tu bois peut-être beaucoup avant la séance mais il y a peut-être d’autres raisons,
mécaniques voire à cause de l’excitation
moi, ce que je ferai mais cela n’engage que moi, c’est que je mettrai une alèse imperméable sur le lit
(quand je pratique avec masseur, j’en mets toujours une, on en trouve à des prix très intéressants et de bonne qualité sur amazone)
et puis si l’envie d’uriner me vient, eh bien j’urinerai tout simplement,
on peut éprouver beaucoup d’excitation supplémentaire à s’uriner dessus
et ainsi pas besoin de se lever
mais ça c’st moi, j’en conviens , c’est peut-être pas au goût de tout le monde
et en plus quand l’urine refroidit et qu’on patauge, c’est moins agréable,
je fais cela en fait en fin de séance,
c’est la cerise sur le gâteau de ma séance,
cependant si tu es ouvert d’esprit et intéressé par toutes sortes d’expériences, c’est peut-être à tester
mais s’il ne s’agit que de quelques gouttes, alors lache-toi sans hésiter,
quelques gouttelettes de liquide jaune et chaud
dégoulinant autour de ton sexe, sur ton bas-ventre,
cela va fort t’exciter, je te le garanti
comme si une sorte d’orgasme était sur le point d’arriver, une explosion, des chatouillis au niveau de la prostate et j’ai beau faire tout pour essayer de déclencher l’orgasme, accéléré les mouvements, appuyer … rien n’y fait, je m’épuise au bout d’un moment et n’y parviens pas.
classique, la paroi de verre, un jour tu parviendras à la fracasser,
il ne faut pas faire de fixation malgré la frustration, on aimerait que cela explose,
on aimerait être envahi par le plaisir mais cela viendra en son temps,
il faut prendre son mal en patience,
te concentrer sur le moment présent, bien te concentrer sur tes sensations,
essayer de bien repérer les endroits où elles naissent
Quelques questions, dans le traité anéros il est dit que l’on doit faire des contractions de 15 secondes, environs une trentaine, qu’ensuite des contractions involontaires commenceront à se faire sentir. Mais j’ai du mal à garder une contraction constante de l’anus pdt 15 seconde, peut être les muscles du périnée pas assez habitué. Je me concentre également trop sur le nombre de seconde et je ne profite donc plus du plaisir ressenti si je compte les secondes. Et si je ne contracte pas volontairement je n’ai jamais réussi à ressentir de contractions involontaires.
c’est le parfait exemple de ce que j’ai écris tout au début, il ne faut pas suivre à la lettre,
écoute ton corps, écoute ton instinct,
tes muscles sont peut-être encore pas assez puissants mais cela viendra
mais il ne faut surtout pas compter les secondes,
encore une fois écoute ton corps et laisse-toi aller,
il ne faut pas trop réfléchir,
même pas réfléchir du tout en fait,
juste laisser faire son corps
évidemment c’est facile à écrire qu’il faut laisser faire son corps
quand on est encore dans le vague techniquement
mais ait toujours à l’esprit, c’est un excellent commandement,
il faut laisser de plus en plus faire son corps,
le laisser de plus en plus se débrouiller tout seul
au fur et à mesure que notre technique se développe
Que me conseillez vous ? Continuer de cette manière et faire des contractions volontaires ? Il n’y a qu’en faisant volontairement ces contractions que j’arrive à ressentir parfois plusieurs petite vague de plaisir.
absolument, moi je suis un chaud partisan des contractions et si tu aimes beaucoup les va et vient comme moi,
il faut en faire encore et toujours,
c’est le va et vient de l’amour,
on se fait l’amour, un pénis entre et sort, il frotte, il cogne, il presse,
il allume la mèche du plaisir
et un jour le baril de poudre explosera en toi aussi
comme en la plupart des gens par ici, la très grande majorité des gens y parviennent,
ce n’est qu’une question de temps, de patience et de s’appliquer
Autre question, je prends un anti dépresseur depuis quelques années déjà, est ce que cela ne rend pas les choses encore plus difficile ? Les anti dépresseurs sont bien connus pour avoir des impacts sur la libido, l’érection …
genre Lexotan? cela a un effet terrible sur la libido en effet,
la libido pénienne sûrement, c’est pas terrible,
par rapport au plaisir prostatique, je ne sais pas,
je ne pourrai pas te répondre
j’aurai tendance à dire
que si tu as déjà commencé à ressentir des choses, à éprouver du plaisir,
même à avoir plusieurs moments forts où tu étais tout près de l’orgasme,
que ta libido peut quand même stimulée prostatiquement
et que donc cela devrait aller,
l’anti-dépresseur ne devrait pas trop te freiner,
ne devrait pas trop contrarier tes plans
courage @shyboy,
tu vas y arriver et tu verras , c’est aussi extraordinaire
que tout ce que tu en lis,
bien plus en fait
car les mots sont pauvres pour restituer ce genre de vécu,
ce genre de grand frisson qui traverse notre chair,
qui nous fait délirer de plaisir