#29720
bzo
Participant

je ne sais pas comment on fait pour « citer »

il faut utiliser les balises “blockquote” et recliquer sur le même bouton pour refermer la balise “/blockquote”

j’ai resseré mes jambes l’une contre l’autre car j’ai remarqué que ainsi je ressentais beaucoup plus les mouvements.

très certainement cela provoque des frottements supplémentaires

j’ai alors fait des très léger mouvement du bassin de haut en bas comme si ma femme était à cheval sur moi et que j’aidais à la pénétration de manière subtile.

intéressante découverte tu as faites, simulation de mouvements de pénétration,
tout en finesse et en légèreté pour l’instant

je connais bien ce plaisir-là, cette manière-là, je n’en dirai pas plus,
je te laisse le soin de découvrir peu à peu,
tu es bien engagé en tout cas,
tu es imaginatif et tu tentes des choses, tu oses,
je parie qu’il ne te faudra pas trop de temps avant d’avoir ton premier orgasme prostatique

, quand on attend quelque chose avec impatience et envie c’est l’effet contraire qui arrive, comme dans beaucoup de situations de la vie de tous les jours.

c’est un piège dans lequel on tombe facilement de vouloir reproduire ce qu’on a vécu le jour d’avant,
il est primordial de se mettre au lit sans attentes
ou du moins de savoir laisser celles-ci au vestiaire

ce n’est pas évident, c’est une question de se purger la tête de tout,
faire le vide, se laisser aller,
le fameux relâchement, il faut bien comprendre que c’est un mécanisme dans sa tête,
après le relâchement du corps suit automatiquement

mais si on a la tête pleine d’idées sur ce qu’on doit faire et comment le faire
et ce qu’on veut atteindre comme résultat
et qu’on compte sur un relâchement physique pour être dans le bon état de réceptivité
et de concentration,
on est complètement à côté de la plaque,
c’est le contraire qu’il faut faire,
se vider la tête autant que possible et ne pas se préoccuper de l’état de relaxation de son corps,
se laisser aller à ses caresses, se laisser aller aux mouvements du masseur,
se laisser glisser dans la volupté comme on entre dans l’eau de son bain

se concentrer sur son bassin
car c’est le lieu privilégié du plaisir prostatique,
un épicentre sismique où chaque mouvement là en bas
peut devenir un début de houle langoureuse,
tout un tas de frottements soyeux se dispersant en vagues