#29973
Ch313
Participant

Le masseur ….
L’outil chéri, nécessaire ou pas ?
Le centre de mes préoccupations était ma prostate. Et après les doigts, les godes, j’ai trouvé l’Helix sans jamais trouver le plaisir promis dans le Traité.
Jusqu’à un jour ou j’ai basculé dans un nouvel univers. Mais toujours sans prostate. Le féminin m’avait ouvert ses plaisirs. Même si je ne sentais toujours rien de la part de ma prostate j’étais ‘transportée’. De mes interrogations et recherche j’ai ‘identifié’ un processus d’auto-hypnose.
Si le masseur ne déclenchait pas une réaction par le canal sensibilité c’est par le seul mental que cela ‘marchait’ donc je l’ai déclaré comme inducteur de mon état.
Comme aujourd’hui je ne l’utilise que rarement Jieffe pose à juste titre la question de l’induction maintenant.
Je me suis aperçu que je pouvais obtenir les mêmes sensations sans le masseur, alors je l’ai laissé de côté. Maintenant je me ‘focalise’ sur mes sensations, et dès que mon ‘intimité ‘ se relâche (suivant mon protocole de relaxation) à la première contraction, au premier spasme je peux plonger dans cet univers. C’est ce sensuel qui est maintenant inducteur.
En fonction de l’environnement du moment, je fixe les limites. Mon superviseur saura les appliquer.
De temps à autre je le reprends pour tester si titillant ma prostate quelque nouvelle sensation pourrait m’en rapprocher. Mais sans succès pour l’instant.
C’est pour ça que j’ai beaucoup de mal à utiliser l’expression ‘plaisir prostatique’, mon univers sexuel est non prostatique, il est tellement féminin.
Cela ne m’empêche pas d’utiliser d’autres jouets dans d’autres circonstances (en balade surtout) et que j’aime bien les sensations annales qu’ils me procurent.
J’ai essayé un plus gros (le Progasme). L’effet sur ma prostate n’est pas différent. Seule la sensation de remplissage est différente meilleure mais moi fine que l’Helix. Sans compter que je le perds plus facilement, je l’utilise donc peu.
Ce sensuel composé de spasme et de légères contractions est totalement involontaire. Pour entrer dans ce voyage il me suffit de laisser faire, de m’abandonner à mon mental. C’est lui compose à partir des mes manifestations corporelles et des éléments de mon subconscient le scénario, les éléments, les personnes qui interviennent. Il suffit que dans un lâcher-prise mon conscient accepte et une spirale se développe. Les sensations se créent le corps les produit, le conscient les absorbe, stimulant le mental qui déclenche de nouvelles réactions correspondantes aux désirs et cela se reboucle indéfiniment. Le mental dirige tout se nourrissant de la participation du corps. Mon conscient suit ces manifestations sans opposition, sans tabou dans un bien-être très profond, sans même imprimer ma mémoire. Ce qui fait que j’ai l’impression de sortir d’un rêve à la fin de cette aventure. Les souvenirs s’estompent rapidement.

À plus. . .