#29984
bzo
Participant

hier ces quatre heures pratiquement en continu ont été une expérience superbe

le flot de plaisir semblait devenu l’accomplissement d’une fonction naturelle,
je respirais, je regardais, j’ais et puis j’avais du plaisir qui coulait en moi un peu partout

ce matin, réveil vers 7h, mon corps a immédiatement manifesté l’envie de recommencer,
je ne me suis pas fait prier,
un peu moins longue que hier, trois heures tout de même

spécificité aujourd’hui, je n’ai plus touché mes parties génitales avec les mains,
l’activation de mon pôle masculin,
s’est fait avec les cuisses,
je bougeais beaucoup du bassin, les cuisses venaient frotter,
comme c’était délicieux, l’effet liane lascive plus omniprésent que jamais

mes hanches, mes cuisses bougeaient vraiment beaucoup, ondulaient,
mes deux mains à présent libres allaient et venaient joyeusement,
caressaient en stéréo,
je n’arrêtais pas de cambrer ma croupe, j’écartais bien les cuisses par moments
pour sentir bailler mon pussy
et les refermer soudainement en faisant remonter une contraction,
quel explosion à chaque fois dans mon ventre,
un petit séisme de plaisir de sentir monter en mes entrailles cette fusée
qui frottait tellement bien, qui me raclait sans ménagement

c’était remarquable ainsi sans les mains,
mon bassin bougeait tellement, ondulait tellement, quelle danse langoureuse,
je n’en pouvais plus,
j’avais le souffle court, je n’arrêtais pas d’ahaner
et j’ai été stupéfait à un point tel à un moment donné de me rendre compte
que mes gémissements, mes râles semblaient former un chant,
je chantais, le plaisir faisait chanter mes entrailles

le féminin m’habitait à un point,
j’ai été très étonné , émerveillé en fait de me rendre compte
qu’il n’était pas du tout nécessaire de faire des contractions à un rythme aussi régulier
que celui qui a été toujours le mien,
avec les mouvements des cuisses, des hanches, cet effet liane lascive si omniprésent, si délicieux,
la femme semblait danser, chanter, courir, rire,
je sentais une telle joie , une telle liberté en moi,
j’en étais étourdi, j’en étais ému aux larmes

je me sentais amant, je me sentais amante,
je me sentais habité par l’amour
et même mes gémissements semblaient former un chant, c’était extraordinaire
et mon corps dansait sur les draps, délié, souple,
sans aucun frein, librement