#30139
Epicture
Participant

Bonjour à tous !
Cette nuit, je me suis réveillé par un cri. Le rêve qui y était associé n’était pas spécialement inquiétant. Et je fus immédiatement le siège de vagues vibratoires intenses, accompagné d’une forte érection.
Le temps que mon esprit cherche à comprendre ce qui se passait, il y avait des choses qui ne rentraient pas dans les cases, et je ne suis pas parvenu à laisser filer les pensées, et assez vite les sensations ont diminué d’intensité pour redevenir conformes à ce que j’ai “l’habitude de vivre” : vagues vibratoires modérées et secousses spasmodiques régulières.
Ce cri était probablement un cri orgasmique, mais je n’en suis pas sûr. Mon corps a réagi tout seul, comme pour me prévenir qu’il se passait quelque chose pendant la nuit. Mais il semblait apeuré, alors que mon esprit ne l’était pas, il y avait un truc pas clair dans tout ça si bien que tout s’est rapidement calmé, et je me suis rendormi.
Puis au petit matin, sous la douche je me suis massé la prostate avec un tube en plastique au bout arrondi, de 12 mm de diamètre. C’est un peu comme un doigt, mais allongé, et qui permet, sans se tordre en contorsions, d’aller facilement chercher le contact de la prostate avec une précision diabolique. Il est parfait. Je me suis senti comme une femme pénétrée, ondulant, gémissant, envahie d’ondées vibratoires extatiques. Mais il fallait poursuivre ma préparation pour aller au travail.
Puis, je me suis allongé près de ma femme qui dormait encore, pour lui faire un petit câlin avant de partir. Je n’avais pas de masseur, et contractant mon périnée, ou quelque chose comme ça, je me sentais encore une fois comme pénétré. Mais pas analement. C’était plutôt en lieu et place de mon pénis. J’avais l’impression d’être autopénétré par mon propre pénis. Malheureusement, il fallait partir au travail, mais j’avais cette sensation en moi, qui ne me quittait pas. Les vibrations de ma voiture, du moteur, de la route, se diffusait, à partir de cet endroit, zone du périnée, dans tout mon corps, à la limite de l’orgasme. Dans ma voiture je suis seul et personne ne peut m’entendre crier, mais je dois conduire quand même, alors…
Et maintenant je cajole à chaque instant cette sensation qui ne me quitte pas. Il va bien falloir pourtant, parce que j’ai du travail.