#30315
bzo
Participant

nouvelle séance tellement délicieuse,
une demie heure

je continue d’optimiser mes manipulations de parties génitales,
je reste sur les bords, plus de manipulation pleine main,
plus attraper l’ensemble, bitte, couilles, les frotter, les malaxer, les presser à pleine main,
je reste sur les bords donc,
surtout à la base de la verge il y a cette zone qui est si extraordinairement réactive
que j’associe avec aussi les effleurements, les pressions de mes cuisses

une autre zone aussi réactive quasiment, c’est en bas de mes couilles,
un doigt légèrement entrant dans mon anus-pussy,
le reste de la main à plat sur le périnée, débordant sur les cuisses
jusqu’à la base de la bourse, pressant aussi un peu le bas des couilles,
les jambes écartées,
la sensation irrésistible ainsi d’être une femme en train de se donner du plaisir avec la main,
cela rajoute de l’excitation

souvent je me laisse emporter par la houle de mes hanches,
je coince la main entre mes couilles et une cuisse, je serre
et puis je me laisse emporter par les courbes dansantes, frémissantes, en moi,
en mode automatique liane lascive, quelle sensation d’onduler ainsi
et de sentir tout ce que cela éveille en moi

j’ai découvert que j’adorai aussi frotter mes jambes l’une contre l’autre,
le mouvement se répand rapidement vers le haut,
on est toujours en mode liane lascive ici, plus que jamais
mais débutée par le bas, tout en bas,
je commence à frotter un pied contre l’autre et je remonte progressivement,
les deux jambes avec tous leurs poils, je m’attarde,
c’est si délicieux de les faire s’effleurer,
quand ils commencent ainsi, je ne résiste pas au terme, de s’enlacer langoureusement,
mes deux guibolles poilues
je suis immédiatement parcouru de frissons partout

en bougeant ainsi les jambes,
la houle est immédiatement aussi dans toute la croupe, tout le bassin
et les cuisses serrées viennent frotter, malaxer mes parties,
il ne reste plus qu’à y ajouter une contraction
et la recette est au complet

le four est chaud, les ingrédients sont au complet dedans,
ah non, j’allais oublié la main gauche,
elle continue à arpenter inlassablement ma poitrine, mes flancs,
c’est ma main caresseuse, c’est ma main paresseuse,
elle déambule nonchalamment, voire même s’arrête complètement,
se contentant de presser en un endroit, frottant un peu aux alentours,
de temps à autre elle fait un solo,
elle joue sur mes deux seins, passant de l’un à l’autre en virtuose
avant de rendre la main à la zone du bassin

voilà, voilà, le bal a commencé, tout cela est en mouvement,
chacun musicien de l’orchestre sait ce qu’il a à faire,
je ahane, je gémis, je râle, je secoue la tête de gauche à droite,
que ma chair festoie, quel bonheur d’être ainsi empli de ce plaisir,
c’est un constant émerveillement
d’être capable d’éveiller de pareilles sensations,
d’être capable d’arriver à de pareils résultats