#30337
Ch313
Participant

Rester sur cet échec me taraude alors je me force à la provoquer.
Je l’entraîne dans la chambre l’invitant à faire une sieste.
Je lui demande de me parler de sa sexualité. Je luis dis que je suis perdu parce qu’elle ne manifeste pas son ressenti, qu’il me semble qu’elle ne prends plus de plaisir.
Elle reconnaît que ces deux dernières années ont été mauvaises. Que c’est douloureux sans savoir pourquoi.
J’essaie de la ‘re-situer’ sexuellement. Elle n’aime pas le cunnilingus. Elle n’aime pas non plus la fellation, surtout pas sans capote. La moindre goutte est de trop, même pour me masturber. Elle ne se masturbe jamais.
Je comprends que si elle le fait c’est pour mon plaisir. Si je ne le demande pas, il ne se passe rien. Si j’insiste, je passe pour un obsédé.
Quant à la douleur ou la gêne je lui demande si une autre position pourrait améliorer la situation. Mais elle n’a rien à me proposer. Alors je lui demande si elle veut bien essayer de se mettre sur moi de cette façon elle peut contrôler la pénétration et je l’écrase pas en étant sur elle.
Elle me surprend, elle veut passer aux travaux pratiques. Elle me demande si j’ai du gel (du lubrifiant). Je vais le chercher dans l’armoire car jusqu’alors elle le refusait quand je lui proposais, je suis surpris. Elle se lubrifie puis s’installe sur moi bien que je ne suis même pas encore prêt (la surprise). Je m’abandonne à son désir. Elle arrive à me prendre complètement (une première depuis dix huit mois). J’ai l’impression de découvrir son vagin, je n’ai jamais eu cette sensation.
Je prends alors beaucoup de plaisirs, je me laisse aller. Toutes fois je contrôle mes soubresauts comme dans mes séances, je suis presque dans le même état c’est surprenant. C’est la première fois que je me ressens comme dans mes ‘voyages’ en étant en train de faire l’amour avec quelqu’un. Cela me ‘remplit’ . . .
Je sens son vagin ‘présent’ comme jamais je ne l’ai senti.
Mais elle me dit : « j’arrête » dommage mais je ne me sens pas frustré. Elle se dégage, alors je lui demande si elle veut bien me caresser. Non elle ne veut pas, je me masturbe alors, je prends sa main et la glisse entre mes cuisses contre mon périnée. J’aurais aimé qu’elle caresse mon anus avec en arrière pensées un massage prostatique. Mais elle ne reste pas, elle me masse alors les testicules pendant que je continue à me masturber avec beaucoup de plaisir. Jusqu’à revenir à une phase de repos.
Je lui demande si elle a eu du plaisir. Sa réponse n’est pas claire, laisse à penser que oui.
Mais je crois qu’elle était encore loin de la jouissance. Je ne l’ai pas senti ‘s’abandonner’.

Comment préserver cette étincelle ? Faire grandir cette flamme.
À plus…