#30772
Epicurien99
Participant

Nouvelle nuit de folie.
Hier, je me suis couché tôt, j’ai lu un peu puis dodo. C’était relâche.

Mais à une heure du matin, je me réveille.
Mon corps est en demande.
Je ressens plusieurs mi-orgasmes, anerosless.

Je n’y tiens plus. Mon corps en demande plus.
J’étale un essuie de bain sur le lit.
Je lubrifie mon anus et l’anéros.
Je l’introduit. Il connaît le chemin. Il sait ce qu’il doit chercher, et le trouve.
Et la danse commence.

Cela durera jusque 4 heures.
Trois heures de pur plaisir, entrecoupées de quelques moments de sommeil réparateur.
Sur le dos, le côté, le ventre, à genoux les coudes posés sur le matelas
Toutes ces positions apportent des sensations différentes.

J’ai aussi réessayé avec le masseur vibrant.
Bonnes sensations, mais ne vaut pas l’anéros.
Trop encombrant dans le rectum, trop bruyant.

Le moment de pure extase :
contraction des muscles rectaux comme pour expulser l’anéros
puis très forte contraction des muscles anaux pour ramener l’anéros en contact avec la prostate.
Cela plusieurs fois de suite, suivi de petites contractions anales pour faire bouger le masseur.
C’est une sensation de bien-être intense.

A 4 heures, je fais un peu de toilette et espère terminer ma nuit.
Mais mon corps en a décidé autrement.
Anerosless, j’ai encore plusieurs orgasmes très violents.
Quelques contractions légères de l’anus suffisent. Ou caresser les tétons.
C’est comme si ma prostate avait gardé en mémoire le contact de l’anéros.

Alors, je me suis levé à 7 heures.
Petit déjeuner, passage à la piscine de la ville, 40 longueurs, hamman, sauna, jacuzzi.
Là aussi, je dois me contrôler. Le simple fait d’être étendu sur le banc dans le sauna provoque déjà des vibrations.
Si je laisse aller, c’est parti pour un tour.
Bien sûr, c’est un endroit public. Pas question de se laisser aller.

Je vous avais dit que j’avais rendez-vous pour un massage érotique.
Ce fut sublime.
Les massages de la prostate, tantôt avec un doigt, tantôt avec un vibro-masseur m’ont fait connaître plusieurs orgasmes.
S. , mon masseur, est obligé de me couvrir la bouche pour atténuer mes gémissements et mes cris (son salon est dans un appartement, en ville)
Il multiplie les positions (sur le ventre, sur le dos, jambes en l’air, à genoux les coudes sur la table de massage)
Je me prête à tous ces jeux sans aucune inhibition. Il joue de mon corps comme d’un instrument de musique.

Tout a changé complètement depuis que ce partenaire de jeu (anéros) est entré dans ma vie.
Je dois avouer que je n’y croyais pas. Quand je lisais des articles sur l’orgasme prostatique, je me disais que ce n’était pas possible. Maintenant j’y crois pour l’avoir vécu aussi intensément.

Autre conséquence (plus triviale, celle-là) :

Avant, lorsque je voulais jouer avec mon corps, j’utilisais parfois un dildo réaliste, un plug ou le masseur prostate vibrant.
Ces sextoys emplissent le rectum et demandent donc, pour un confort total avant, pendant et surtout, après, de faire un lavement. Ce qu’il n’est pas conseillé de faire trop souvent de manière à ne pas détruire la flore rectale et intestinale.

Avec l’anéros, tout cela n’est plus nécessaire. Le plus souvent il ressort de son voyage dans ma grotte intime totalement propre (à peine quelques petites taches parfois).

Voilà, c’est tout pour aujourd’hui.
A bientôt pour d’autres aventures.