#30883
bzo
Participant

cette séance de trois quart d’heure aura été incroyable de bout en bout

cela faisait quelques jours que je n’y avais plus été avec la main dans mon anus-pussy,
là presque tout de suite avec trois doigts bien droits et bien serrés,
dans ma petite huître bien chaude à la chair tendre et malléable,
je les ai enfoncé lentement bien droits,
toute cette viande s’est mis à fondre immédiatement comme du beurre à leur contact,
à fondre comme du beurre et à devenir des vagues frissonnantes, moutonnantes

ma croupe était relâchée, je me sentais pénétré par ces doigts,
mes cuisses venaient presser mes parties
et une contraction régulièrement se frayait un chemin,
remontant comme le carrosse du roi parmi la foule en délire,
divin grouillement,
mes couilles et mon sexe entre mes cuisses se mettaient à bouger légèrement, à frotter,
toutes ces ondes péniennes et vibrations de la prostate
forment bientôt un nectar chaud, caressant qui se répand en moi,
qui m’emplit

je bouge peu, je bouge bien, je suis concentré comme un noyau,
ma chair est concentrée comme un noyau tout en étant totalement relâchée,
le moindre mouvement de mon bassin fait naître en moi
des sensations comme des courbes gracieuses, sensuelles
qui ondulent, dansent

et puis mes mains tantôt m’enlacent tendrement, pressant mes flancs, pressant mes seins,
tantôt se mettent à se déplacer lentement,
suivies sous la peau par un feu de broussaille

et puis chaque contraction qui en même temps fait bouger mes parties génitales entre mes cuisses,
c’est à chaque fois une explosion de douceur, de puissance, de grâce en moi,
tant d’harmonie jouissive à chaque instant,
ces ondulations partout en moi, courbes langoureuses, sensuelles,
lascivité de mon bassin, le moindre mouvement
et c’est comme une fleur de soleil qui vient baiser ma chair,
des rayons de lumière chaude à ne plus en finir qui se répandent partout

un pont finit par se former,
je n’atterris plus, je sens comme un pont en moi,
une grande ouverture est empruntée par ce pont en son milieu,
il semble soutenu par rien,
il semble soutenu par rien d’autre que la lumière,
je n’atterris plus, c’est un pont vers la lumière,
soutenu par elle, embrassée par elle,
le pont semble sortir de moi,
la lumière crée de la légèreté