#31277
Epicture
Participant

Oui @bzo, depuis que je te lis, j’ai fini par bien comprendre ta pratique, et je la respecte en tous points. J’y trouve une source d’inspiration et d’encouragement, ce dont je te remercie vivement. Ma différence provient comme tu dis de mon moteur. Mais en fait, c’est bien de la prostate qu’il s’agit, sauf que son activation, son decollage est obtenu via stimulation penienne. Le probleme, en effet, c’est que cette stimulation provoque aussi éjaculation. Mais, avec la pratique, je maitrise de mieux en mieux, et j’arrive de plus en plus rapidement à un seuil, où le penis est mou, mais sa stimulation ne m’entraine plus sur le terrain de l’ejaculation, mais du plaisir que je sens de plus en plus nettement comme prostatique.
Mais tout ceci ne m’empêche pas de pratiquer aussi le massage prostatique, avec ou sans aneros, et ce, sans aucune stimulation penienne. Mais les resultats sont assez poussifs. Il ya tout un tas de conditions à remplir, il faut comme ci, comme ca, un peu la, un peu ci, mais pas trop, etc…
En suivant ma voie, je gagne en sérénité, et j’aborde les sessions de massage prostatique avec moins d’attente.
Comment peut-on être surexcité comme je le suis, sans attente, et détendu quand on sent qu’on est tout prêt de décoller, mais que non, on reste au sol ? Pour moi, c’est pas possible.
Alors je vais chercher du decollage autrement, et ça marche.
Mais je pense vraiment que ça n’est pas la finalité. C’est une étape, sur mon chemin. Qui sait ce que je vais y rencontrer encore ? Pas moi en tout cas.
Ah oui autre chose, je comprend bien maintenant ton vecu au feminin. Dans le mouvement du corps, la gestuelle, la vocalisation, les soubresauts, tout cela en effet n’est pas habituel pour moi, cela tient à la durée. La femme est dans la durée (ce qui ne signifie pas la longueur de temps) sans debut, ni fin, alors que l’homme est dans le temps, c’est à dire qu’il vise un but.
Bises à toi et à tous les lecteurs