hello @epicture
tant que nous sommes dans les philosophes, nous n’avons pas encore cité mon préféré, Nietzsche,
il aurait aimé cela , le massage prostatique, lui qui aimait tellement les sommets
et puis qui accordait tellement de place à la sensibilité, au corps
et puis accessoirement il n’aurait pas attrapé cette syphilis en allant visiter les dames
longue séance matinale, dès le réveil, mon premier réflexe a été de me caresser
et de commencer à onduler sur mon lit,
mes cuisses se refermaient sur mes bijoux de famille, les pressant, les frottant, les cajolant
tandis que je me malaxais les seins avec ardeur, avec passion
je m’asseyais de temps à autre dans le lit
et m’empalait sur mes doigts,
les reins bien cambrés, le buste penché en arrière,je bougeais lentement
et sentais mes doigts fouiller ma chair,
par moments je n’y tenais plus
et entamais une chevauchée endiablée qui me faisait monter et descendre à vive allure
tandis que je poussais de petits gémissements sans cesse
une bonne heure ainsi, ivre, empli d’une délicieuse volupté,
emporté par ces vagues de volupté,
ce nectar chaud, frissonnant, sensuel qui se mouvait partout en moi et hors de moi,
je me sentais tourné et retourné comme une crêpe par tant de sensualité déchaînée
qui s’éveillait dans ma chair
et faisait de moi le jouet des éléments
mes doigts ont beaucoup exploré mon anus-pussy,
de vrais travaux de fouille, ils ont mis au jour beaucoup de plaisir,
bon , va falloir y aller, entamer cette journée,
va falloir me calmer un peu, je suis chaud comme un lapin ce matin,
je n’arrête pas de me caresser,
je vais aller mettre une culotte, c’est déjà un premier pas,
en général cela suffit même
D’apres ce que j’ai compris de Spinoza, la liberté, la vraie, s’obtient par l’acceptation pleine et entière de ce pour quoi nous avons été programmé par la nature, ce qui pour beaucoup est une enorme contradiction. Mais cette acceptation passe par la compréhension de cette « programmation » qu’ il nomme connaissance du troisieme genre. Je me retrouve bien dans cette préoccupation.
il a écrit ce genre de choses, Spinoza?
intéressant, je n’ai jamais lu mais là cela éveille définitivement ma curiosité